Текст и перевод песни The Wolfe Tones - Only Our Rivers Run Free

Only Our Rivers Run Free

And apples still grow in November
When blossoms still bloom from each tree
When leaves are still green in December
It′s then that our land will be free

I wander her hills and her valleys
And still through my sorrow I see
A land that has never known freedom
And only her rivers run free

I drink to the death of her manhood
Those men who'd rather have died
Than to live in the cold chains of bondage
To bring back there rights were denied

Oh, where are you now when we need you?
What burns were the flame used to be?
Are you gone like the snows of last winter?
And will only our rivers run free?

How sweet is the life but we′re crying
How mellow the wine but it's dry
How fragrant the rose but it's dying
How gentle the breeze but it sighs

What good is in youth when it′s aging?
What joy is in eyes that can′t see?
When there's sorrow in sunshine and flowers
And still only our rivers run free

Seuls nos fleuves coulent librement

Et les pommes poussent encore en novembre
Quand les fleurs fleurissent encore de chaque arbre
Quand les feuilles sont encore vertes en décembre
C'est alors que notre terre sera libre

Je parcours ses collines et ses vallées
Et toujours à travers mon chagrin je vois
Une terre qui n'a jamais connu la liberté
Et seuls ses fleuves coulent librement

Je bois à la mort de sa virilité
Ces hommes qui auraient préféré mourir
Que de vivre dans les froides chaînes de la servitude
Pour ramener les droits qui leur ont été refusés

Oh, où es-tu maintenant que nous avons besoin de toi ?
Quel était le feu de la flamme ?
Es-tu parti comme les neiges de l'hiver dernier ?
Et seuls nos fleuves couleront-ils librement ?

Comme la vie est douce, mais nous pleurons
Comme le vin est moelleux, mais il est sec
Comme la rose est parfumée, mais elle meurt
Comme la brise est douce, mais elle soupire

À quoi sert la jeunesse lorsqu'elle vieillit ?
Quel est le plaisir des yeux qui ne voient pas ?
Quand il y a du chagrin dans le soleil et les fleurs
Et toujours seuls nos fleuves coulent librement