Текст и перевод песни The World Is A Beautiful Place & I Am No Longer Afraid To Die - Lioness

Lioness

When I was with you we were an estuary
I don't know if i come from the river or the sea
All i know is you are both my opposite and my reflection
And where we meet, all salt and mouth and convergence
We were the meeting point of a mountain and a valley
From a distance it is clear that we are inverted forms of one another
Should our mountain crumble it would fill the valley to our brim
Creating flatland where there was once chaos
But until that beautiful collapse we wonder where you begin and i end. we were two bodies
Running out of room in this world
We carved space in ourselves for the other to borrow, for the other to burrow
I wake up sometimes with ghost traces of your lips on my bones
And my arms holding your phantom frame as you drift away. We were roots and soil
The splendor of a tide pool
We were giants. But for now we can't swallow the things that separate us.
Lioness, please grab me again by the scruff of my neck
And lick the wounds i've made trying to taste my own blood

Lionne

Quand j'étais avec toi, nous étions un estuaire
Je ne sais pas si je viens de la rivière ou de la mer
Tout ce que je sais, c'est que tu es à la fois mon opposé et mon reflet
Et là où nous nous rencontrons, tout sel, bouche et convergence
Nous étions le point de rencontre d'une montagne et d'une vallée
De loin, il est clair que nous sommes des formes inversées l'une de l'autre
Si notre montagne s'effondrait, elle remplirait la vallée jusqu'à ras bord
Créant une plaine où il y avait autrefois le chaos
Mais jusqu'à cette belle effondrement, nous nous demandons où tu commences et où je finis. Nous étions deux corps
Manquant de place dans ce monde
Nous nous sommes creusé de l'espace pour que l'autre puisse emprunter, pour que l'autre puisse s'enfouir
Je me réveille parfois avec des traces fantomatiques de tes lèvres sur mes os
Et mes bras tiennent ton cadre fantomatique alors que tu t'éloignes. Nous étions des racines et du sol
La splendeur d'une mare à marée
Nous étions des géants. Mais pour l'instant, nous ne pouvons pas avaler les choses qui nous séparent.
Lionne, s'il te plaît, attrape-moi encore par la peau du cou
Et lèche les blessures que je me suis faites en essayant de goûter mon propre sang