Текст и перевод песни Tiziano Ferro - Le 3 parole sono 2

Le 3 parole sono 2

Partii a fine mese senza pretese
Partii per qualche giorno
E ancora non ritorno
E avevo solo giugno e il mio rimorso
E che si fotta l′anno scorso
Non è mai presto per un progresso, no
Un incubo così pesante
Me lo vuoi dire come fa a finire?
Mi rispondi, "Come gli incubi tutti, quando apri gli occhi"
È come fossi morto mille volte
E poi risorto, amore mio, ritorno
Le tre parole, in realtà, sono due
Queste le mie mani, tocca, adesso sono tue
Lo penso, l'ho detto e di fatto ti amo
La fine è prevista, perciò continuiamo
Torturato da questo grande sole
Non ho più scuse per non uscire
Ci colse il freddo, ma non fu eterno
Che lo voglia o meno è finito l′inverno
E fuori è ottobre, ma il sole scalda
La nostalgia non ricambiata
La solitudine alleata
Con un futuro così nero e incerto
Me lo vuoi dire come faccio a dormire?
Mi rispondi, "Come gli uomini tutti, chiudendo gli occhi"
E chi è che perde in questo gioco disumano
In fondo, tutti contro il mondo
Le tre parole, in realtà, sono due
Queste le mie mani, tocca, adesso sono tue
Lo penso, l'ho detto e di fatto ti amo
La fine è prevista, perciò continuiamo
Torturato da questo grande sole
Non ho più scuse per non uscire
Ci colse il freddo, ma non fu eterno
Che lo voglia o meno è finito l'inverno
E mi piace, se mi piace
Indovinare dove andrò con te tra un anno
E mi piace, se mi piace
Non accontentarmi, adesso voglio il mondo
Il mondo, la Terra, il contrario di una guerra
Il tuo corpo addormentato che tace al risveglio
La pace, la mia pace
Le tre parole, in realtà, sono due
Queste le mie mani, tocca, adesso sono tue
Lo penso, l′ho detto e di fatto ti amo
La fine è prevista, perciò continuiamo
Torturato da questo grande sole
Non ho più scuse per non uscire
Ci colse il freddo, ma non fu eterno
Che lo voglia o meno è finito l′inverno
Tre parole, in realtà, sono due
Ho poche cose, ma sono anche tue
Quindi non ti voglio bene, di fatto ti amo
E questa è casa nostra, perciò conviviamo
Oggi a L.A. c'è questo grande sole
Ti separano da lui poche ore
Fu tempo di neve e di grande fatica
Fu un grande lavoro e da grande lo racconterò

Les 3 mots sont 2

Je suis parti à la fin du mois sans prétention
Je suis parti pour quelques jours
Et je ne suis toujours pas de retour
Et je n'avais que juin et mon remords
Et que l'année dernière aille se faire foutre
Il n'est jamais trop tôt pour un progrès, non
Un cauchemar si lourd
Peux-tu me dire comment ça se termine ?
Tu me réponds : "Comme tous les cauchemars, quand tu ouvres les yeux"
C'est comme si j'étais mort mille fois
Et puis ressuscité, mon amour, je reviens
Les trois mots, en réalité, ne sont que deux
Ce sont mes mains, touche-les, maintenant elles sont à toi
Je le pense, je l'ai dit et en fait je t'aime
La fin est prévue, alors continuons
Torturé par ce grand soleil
Je n'ai plus d'excuses pour ne pas sortir
Le froid nous a pris, mais il n'a pas été éternel
Que je le veuille ou non, l'hiver est terminé
Et c'est octobre dehors, mais le soleil chauffe
La nostalgie non réciproque
La solitude alliée
Avec un avenir si sombre et incertain
Peux-tu me dire comment je peux dormir ?
Tu me réponds : "Comme tous les hommes, en fermant les yeux"
Et qui perd dans ce jeu inhumain
Au fond, tous contre le monde
Les trois mots, en réalité, ne sont que deux
Ce sont mes mains, touche-les, maintenant elles sont à toi
Je le pense, je l'ai dit et en fait je t'aime
La fin est prévue, alors continuons
Torturé par ce grand soleil
Je n'ai plus d'excuses pour ne pas sortir
Le froid nous a pris, mais il n'a pas été éternel
Que je le veuille ou non, l'hiver est terminé
Et j'aime, si j'aime
Deviner où j'irai avec toi dans un an
Et j'aime, si j'aime
Ne pas me contenter, maintenant je veux le monde
Le monde, la Terre, le contraire d'une guerre
Ton corps endormi qui se tait au réveil
La paix, ma paix
Les trois mots, en réalité, ne sont que deux
Ce sont mes mains, touche-les, maintenant elles sont à toi
Je le pense, je l'ai dit et en fait je t'aime
La fin est prévue, alors continuons
Torturé par ce grand soleil
Je n'ai plus d'excuses pour ne pas sortir
Le froid nous a pris, mais il n'a pas été éternel
Que je le veuille ou non, l'hiver est terminé
Trois mots, en réalité, ne sont que deux
J'ai peu de choses, mais elles sont aussi à toi
Donc je ne t'aime pas bien, en fait je t'aime
Et c'est notre maison, alors vivons ensemble
Aujourd'hui à L.A. il y a ce grand soleil
Il te sépare de lui de quelques heures
Ce fut un temps de neige et de grande fatigue
Ce fut un grand travail et je le raconterai en grand