Текст и перевод песни Tom Paxton - The Same River Twice

The Same River Twice

The smell of spruce brings back the cold September in the woods near Jackson Hole.
The boats still in the water 'Cause we could not bear to let the summer go.
You told them at the grocery not to save the Sunday papers anymore.
You were off to San Francisco. I'd be working for a year in Ecuador.

And now I know. You can't wade in the same river twice.
Now I know. The current flows around you, then it's gone.
Leaves you no choice but moving on.
That river's gone.

The windows needed painting, and some planks along the dock were rotting through.
Next year, I went back early. I worked hard to leave it looking fine for you.
I expected you on Monday. I planted you some roses and red mums,
And it was late on Friday when I finally knew that you would never come.

And now I know. You can't wade in the same river twice.
Now I know. The current flows around you, then it's gone.
Leaves you no choice but moving on.
That river's gone.

If I had said that Ecuador would have to wait another year or two,
If you'd said San Francisco could get through the winter somehow without you...
But now I know. You can't wade in the same river twice.
Now I know. The current flows around you, then it's gone.
Leaves you no choice but moving on.
That river's gone.

La même rivière deux fois

L'odeur d'épinette me rappelle le froid septembre dans les bois près de Jackson Hole.
Les bateaux sont toujours à l'eau, car nous ne pouvions pas supporter de laisser l'été passer.
Tu avais dit à l'épicerie de ne plus garder les journaux du dimanche.
Tu partais pour San Francisco. Moi, je travaillerais un an en Equateur.

Et maintenant je sais. On ne peut pas se baigner deux fois dans la même rivière.
Maintenant je sais. Le courant coule autour de toi, puis il s'en va.
Ne te laisse pas d'autre choix que de continuer.
Cette rivière est partie.

Les fenêtres avaient besoin d'être repeintes et quelques planches du quai étaient pourries.
L'année suivante, je suis rentré tôt. J'ai travaillé dur pour que tout soit parfait pour toi.
Je t'attendais lundi. Je t'ai planté des roses et des chrysanthèmes rouges,
Et c'est vendredi soir que j'ai finalement compris que tu ne viendrais jamais.

Et maintenant je sais. On ne peut pas se baigner deux fois dans la même rivière.
Maintenant je sais. Le courant coule autour de toi, puis il s'en va.
Ne te laisse pas d'autre choix que de continuer.
Cette rivière est partie.

Si j'avais dit que l'Équateur pourrait attendre un an ou deux,
Si tu avais dit que San Francisco pourrait passer l'hiver sans toi...
Mais maintenant je sais. On ne peut pas se baigner deux fois dans la même rivière.
Maintenant je sais. Le courant coule autour de toi, puis il s'en va.
Ne te laisse pas d'autre choix que de continuer.
Cette rivière est partie.