Текст и перевод песни Tony Aguirre - Sangre Amarilla

Sangre Amarilla

A mi el encierro ya no me asusta
Y aqui seguimos todavia haciendo la lucha
No voy anegar que extrano andar por alla afuera
Porque lo mio era andar ahi entre la guerra
Volar casquilloas del cuerno era mi delirio
Y hacer muchos billetes tapizando gringos
Y no crean que ami este encierro me a detenido
Sigo chambeando pero sin duda me awuito
Extrano andar en mi carro montado
Con una plebe bien hermosa por un lado
Una botella de don julio ami costado
Y polvito blanco pa andar bien activado
Dos o tres dias de fiesta y amanecidas
No crean que de un dia pa otro se me olvida
Pero aqui andamos enteritos todavia
Y pronto nos veran alla fuera bien pilas
Tambien extrano andar ruleteando
En mi racer por lla en el rancho
Entre las brechas y los barrancos dejar
Una polvadera en la sierra de vez
En cuandoasi empeze simplemente de abajo
Independiente fue creciendo mi trabajo
Vendia polvito blanco en las calles del barrio
Y no daban un peso por este chamaco
Gracias a mi San Juditas andamos firmes
Y en dos tres anos por hay empezaba a oirme
Aquel plebe que desian que pa nada sirve
Ahira es el jefe y salio muy bueno pal visne
Aquellos que con trabajo los hize
Y lo que saben lo saben por que yo quise
Se aprovecharon porque estoy entre paredes
Pero afuerita tengo gente que las puede
Las reglas suguen igualitas todavia
Y cuando se brinquen las trancas va la mia
No soy de pleito soy calmado y lo sabian
Si asi lo qiueren que corra sangre amarilla
Afuera mi compadrito por hay anda haciendo ruidito
Pronto nos destamos varios botellitas
Mi gallero sabe que rollo con migo
Dos letras que identifican al dueno de este corrido

Sangre Amarilla

L'enfermement ne me fait plus peur
Et nous sommes toujours là à lutter
Je ne vais pas te cacher que je ressens le besoin d'être là-bas
Parce que mon truc c'était d'être là, au milieu de la guerre
Tirer des douilles sur mon fusil était mon délire
Et faire beaucoup de billets en arnaquant les Américains
Et ne crois pas que cet enfermement m'a arrêté
Je continue à travailler, mais je t'avoue que ça me fatigue
Je ressens le besoin d'être dans ma voiture
Avec une belle fille à mes côtés
Une bouteille de Don Julio à côté de moi
Et de la poudre blanche pour être bien réveillé
Deux ou trois jours de fête et des nuits blanches
Ne crois pas que j'oublie tout ça du jour au lendemain
Mais nous sommes là, entiers, encore
Et bientôt tu nous verras là-bas, dehors, bien réveillés
Je ressens aussi le besoin de faire des tours
Dans mon racer, là-bas, au ranch
Entre les chemins et les ravins, laisser
Un nuage de poussière dans la sierra de temps en temps
J'ai commencé tout simplement d'en bas
Mon travail a grandi, indépendant
Je vendais de la poudre blanche dans les rues du quartier
Et ils ne donnaient pas un sou à ce gamin
Grâce à mon Saint-Jude, nous sommes restés debout
Et en deux ou trois ans, on commençait à m'entendre
Ce mec dont on disait qu'il ne servait à rien
Maintenant, il est le patron et il est très bon pour le business
Ceux que j'ai fait travailler
Ce qu'ils savent, ils le savent parce que je l'ai voulu
Ils ont profité parce que je suis entre des murs
Mais dehors j'ai des gens qui peuvent les faire taire
Les règles restent les mêmes
Et quand ils franchiront les barrières, je serai là
Je ne suis pas du genre à me battre, je suis calme et ils le savent
S'ils veulent qu'il coule du sang jaune, qu'il en soit ainsi
Mon pote, il est là-bas, il fait du bruit
Bientôt, on se délectera de plusieurs bouteilles
Mon gallero sait quel est le deal avec moi
Deux lettres qui identifient le propriétaire de ce corrido