Текст и перевод песни Toteking - Nada es Seguro

Nada es Seguro

Lo pienso a menudo
Que si algo es seguro es que nada es seguro, cabrón
Lo pienso tol' día
Temprano o más tarde, que nada es seguro, cabrón
Lo tengo presente
Na' escapa a la muerte porque nada es seguro, cabrón

Mi conciencia de migrañas ocultas en bitcoin
Necesito un año entero pa' explicaros quién soy
Gritan "¡Dinero, ya voy!" como un acto de fe
Yo estoy colgao' como las guitarras del Hard Rock Café
No me creo que no creas en mis discos
Y le reces a un señor al que no conoces y al que nunca has visto
No existo como Johnny Wishbone, solo existe mi pasión
Y es que si algo es seguro, es que nada es seguro, cabrón
(Mátalos, Tote ¡Mátalos!)
Tu flow se fue como mi juventud
El oro no cura el recuerdo de la esclavitud
El bombo de este beat es un ángel flotando en nubes
La caja suena como el puto bofetón al Youtuber
Con la calma, masticando un almax, quiero morir en mi barrio
La tierra es mi faz, alcanzo la paz leyendo a Octavio
"¡El rap español es una mierda!"
No me digas, Sherlock ¿Lo has deducio' tú solo, tío?
¿Y vas a curarlo tú, con tus cuatro amigos? ¡No!
Mejor rapea solo, donde nadie te oiga
Porque más que cantautores, yo a vosotros os veo como autocantores
(Tote)

Y es que viven por pasta
Matan por pasta
Aman por pasta
Mueren por pasta
Viven por pasta
Matan por pasta
Aman por pasta
Mueren por pasta

Y yo lo pienso a menudo
Que si algo es seguro es que nada es seguro, cabrón
Lo pienso tol' día
Temprano o más tarde, que nada es seguro, cabrón
Que nada es seguro, nada es seguro, cabrón.
(Yeah)

Me quería poner cachondo
Y al final me puse triste
Chavalitas del IG
Pa llegar al punto g hay que luchar como Alatriste
Y yo recuerdo a Campanella hoy
Barbijaputa seguro que sueña con Thelma & Louise
Perdona de alegría escaso
Porque yo solo celebro si un LP tiene más de cinco temazos
Hoy repaso cuando cuento el fajo, el bullying que me hacían
Y el que me hacía bullying a mí curra en una mierda cada día
Y mi mayor problema es decidir que libro empieza chachi
Mientras bailo con mi parienta en mi casa de Gianlucha Vacchi
Wow, esta es mi razon de vivir
Mi Superman favorito es Dwight Howard, no Christopher Reeve
Y tu mierda me recuerda a alguien, coño ¿a quién será?
Ah ya, me recuerda a alguien con quien no quiero estar
Santurrón, pa' despreciar la pasta hay que tener algo
Mucho o nada, lo del medio no me lo trago
Te suelto este beat y no sabes entrar como lo hago
Tú entras tarde y yo entro por detrás, Mike Adriano
A ti te gustan cosas que a mí me resultan chistes
A mí me inspiran cosas que tú no sabes que existen
No te mereces ni el agua, yo me merezco una estatua
Bosques de Noruega en mis líneas,
Si tienes quejas es pa'l Rubén de FACUA
Tú amplias miras, yo amplio léxico
Al carajo el éxito, regresiones con el chamán en México
Tu crew es una fool, mi crew es Mötley Crüe
No sabes jugar aunque lo luches como el Rodman de los Bulls
Te mato aquí, te mato en free domingo y lunes
Respeta al dueño; te mato en sueños, Freddy Krueger
Mi quinta es fuego, la de los Roots de Russell
Cuando Ghostface rapeaba sobre soul y ponía producí'o por él
¿Cuántas barras quedan? No lo sé
No busco algo viral porque hay anticuerpos y yo los desarrollé
Se matan por pasta y yo por un renglón
Y es que si algo es seguro es que nada es seguro, cabrón.

Lo pienso a menudo
Que si algo es seguro es que nada es seguro, cabrón
Lo pienso tol' día
Temprano o más tarde, que nada es seguro, cabrón.

Mezclado en aire
Pandemic
ToteKing, Sevilla
Ah, los veo matarse por cuatro duros, hermano
Y yo buscando la barra, buscando la idea, to'l puto día, loco
You, si algo es seguro es que nada es seguro, cabrón
Lo pienso a menudo, pienso to'l día que nada es seguro, cabrón.

Y es que viven por pasta
Matan por pasta
Aman por pasta
Mueren por pasta
Viven por pasta
Matan por pasta
Aman por pasta
Mueren por pasta
(Yeah)

Rien n'est sûr

J'y pense souvent,
si quelque chose est sûr, c'est que rien n'est sûr, putain.
J'y pense toute la journée,
tôt ou tard, que rien n'est sûr, putain.
Je garde ça à l'esprit,
rien n'échappe à la mort car rien n'est sûr, putain.

Ma conscience de migraines cachées en bitcoin,
j'ai besoin d'une année entière pour t'expliquer qui je suis.
Ils crient "De l'argent, j'arrive !" comme un acte de foi,
je suis perché comme les guitares du Hard Rock Café.
Je ne crois pas que tu ne crois pas en mes disques,
et que tu pries un seigneur que tu ne connais pas et que tu n'as jamais vu.
Je n'existe pas comme Johnny Wishbone, seule ma passion existe.
Et si quelque chose est sûr, c'est que rien n'est sûr, putain.
(Tue-les, Tote, tue-les !)
Ton flow s'est envolé comme ma jeunesse,
l'or ne guérit pas le souvenir de l'esclavage.
La grosse caisse de ce beat est un ange flottant dans les nuages,
la caisse claire sonne comme la putain de gifle au youtubeur.
Calmement, en mâchant un chewing-gum, je veux mourir dans mon quartier.
La terre est mon visage, j'atteins la paix en lisant Octavio.
"Le rap espagnol est une merde !"
Ne m'en dis pas plus, Sherlock, tu l'as déduit tout seul, mec ?
Et tu vas le guérir, toi, avec tes quatre amis ? Non !
Tu ferais mieux de rapper seul, où personne ne peut t'entendre.
Parce que plus que des auteurs-compositeurs, je vous vois comme des chanteurs de karaoké.
(Tote)

Et ils vivent pour le fric,
tuent pour le fric,
aiment pour le fric,
meurent pour le fric.
Ils vivent pour le fric,
tuent pour le fric,
aiment pour le fric,
meurent pour le fric.

Et j'y pense souvent,
si quelque chose est sûr, c'est que rien n'est sûr, putain.
J'y pense toute la journée,
tôt ou tard, que rien n'est sûr, putain.
Que rien n'est sûr, rien n'est sûr, putain.
(Yeah)

Je voulais m'exciter,
et finalement j'ai fini triste.
Les gamines d'Insta,
pour atteindre le point G, il faut se battre comme Alatriste.
Et je me souviens de Campanella aujourd'hui,
Barbijaputa rêve sûrement de Thelma et Louise.
Pardon pour le manque de joie,
parce que je ne fête ça que si un album a plus de cinq bons morceaux.
Aujourd'hui, je repense à quand je compte les billets, au harcèlement qu'ils me faisaient subir,
et celui qui me harcelait bosse dans une merde tous les jours.
Et mon plus gros problème est de décider quel livre commence bien,
pendant que je danse avec ma femme dans ma maison de Gianlucha Vacchi.
Wow, c'est ma raison de vivre,
mon Superman préféré est Dwight Howard, pas Christopher Reeve.
Et ta merde me rappelle quelqu'un, putain, qui ça peut être ?
Ah oui, ça me rappelle quelqu'un avec qui je ne veux pas être.
Bien-pensant, pour mépriser l'argent, il faut avoir quelque chose,
beaucoup ou rien, le juste milieu, je n'y crois pas.
Je te balance ce beat et tu ne sais pas y entrer comme je le fais,
tu entres tard et moi j'entre par derrière, Mike Adriano.
Tu aimes des trucs qui me font marrer,
moi je suis inspiré par des choses dont tu ignores l'existence.
Tu ne mérites même pas l'eau, moi je mérite une statue.
Des forêts de Norvège dans mes rimes,
si tu as des plaintes, adresse-toi à Rubén de FACUA.
Toi des vues larges, moi un vocabulaire large.
Au diable le succès, des retours aux sources avec le chaman au Mexique.
Ton crew est nul, mon crew c'est Mötley Crüe.
Tu ne sais pas jouer même si tu te bats comme le Rodman des Bulls.
Je te tue ici, je te tue en freestyle dimanche et lundi.
Respecte le patron ; je te tue dans tes rêves, Freddy Krueger.
Mon cinq majeur est en feu, celui des Roots de Russell,
quand Ghostface rappait sur de la soul et produisait lui-même.
Combien de mesures il reste ? Je ne sais pas.
Je ne cherche pas le buzz parce qu'il y a des anticorps et je les ai développés.
Ils se tuent pour le fric et moi pour une rime,
et si quelque chose est sûr, c'est que rien n'est sûr, putain.

J'y pense souvent,
si quelque chose est sûr, c'est que rien n'est sûr, putain.
J'y pense toute la journée,
tôt ou tard, que rien n'est sûr, putain.

Mixé en direct,
Pandemic,
ToteKing, Séville.
Ah, je les vois se battre pour quatre sous, mon frère,
et moi je cherche la rime, je cherche l'idée, toute la putain de journée, mec.
Yo, si quelque chose est sûr, c'est que rien n'est sûr, putain.
J'y pense souvent, je pense toute la journée que rien n'est sûr, putain.

Et ils vivent pour le fric,
tuent pour le fric,
aiment pour le fric,
meurent pour le fric.
Ils vivent pour le fric,
tuent pour le fric,
aiment pour le fric,
meurent pour le fric.
(Yeah)