Текст и перевод песни Toteking - Ranciofacts

Ranciofacts

Escucharme bien, enfermos del feedback
La broma de coger un audio de Pablo Iglesias o de Rita Barberá, ponerlo
Encima de un ritmo y hacer un rap con eso ¡No hace gracia!, ¡No hace puta
Gracia!, ¡Es rancio!
Esta canción está dedicada a un visionario: Pedro Vera
Ranciofacts brother
El infierno existe y he salido a la calle a escucharte
Que yo no soy ningún lumbreras
Pero la conversación ahi fuera
Es del nivel: "Que buena está la reina nueva"
Que esperas de un país donde PPeros repiten
Agotado del palique, de sinverguenzas en ruedas de prensa
Con menos voz que Luis Enrique
Lo escucho to el dia en plan ruido de fondo
El dopping de Leo Messi, el nuevo coche de Alonso
Infectado por esta mierda
Vivo entre expertos políticos criados en debates de La Sexta
Que se han formado en el 1, 2, 3 y Doña Ruperta
Y docus del Canal de Historia, lo más cerca
Y me graznan como puercas al oido sus delicias
Atentos para hacer Retweet si salta la noticia
Turistas haciendo la broma que no da risa
El truco de la foto sujetando la Torre de Pisa
Conspiranoicos teorizando hasta de lo mas leve
A veces hasta quiero que gobiernen otros seres
Porque el hombre ha demostrado no puede
Ya es hora de que gobiernen las mujeres
Agotado, Ranciofacts por tos lados
Como ese de que el príncipe estaba muy preparado
Supongo que ahora os mola de Rey, no moderno fachas
Prefiero estar solo que rodeado de cucarachas
Tiene que hacer la gracia, ser el no va mas
Ser el primero que haga bromas del pequeño Nicolas
Que desgracia, salgo a la ciudad y no me escapo
Todo el día rodeado de Ranciofacts
Memes de Julio Iglesias, ya lo sabemos
Que si el vestido es blanco y dorado o azul y negro
Da igual, pónmelo bien lejos
Agotado de frases que te joden el cerebro

"Agotado pa siempre de tu charla"

Antigua amiga del tuto me cruzo y saludo sin ganas
Con dos besos mas falsos que el del delfín de Punta Cana
Porque sé que me cuenta mierdas caducadas
Que se acuerda de mis greñas y de mis camis de Nirvana
Ranciofacts, en el bar a la vuelta
Dos parientes discutiendo por pagar la cuenta
El tocho que muere en el gym por su cuerpo grande
El vago que vuelve a decir: "correr es de cobardes"
Pesadillas en frases si salgo fuera
Me siento en un cómic de Pedro Vera
Ignorantes hablando de Podemos en lugares diciendo:
"Son los mismos perros, hermano, con distintos collares"
Si nos follan siempre en el mundial
¿Que coño es ese invento del vencedor moral?
El día a día puede ser un tormento
Niños que hablan con la sintaxis del Yoda, coño, ya ni lo entiendo
Si has nacido en España eres español y punto
Salvo Willy Toledo, ciudadano del mundo
Si eres uno de estos casos, aléjate
Que nada agota más que charlas llenas de clichés
Tiene que hacer la gracia, ser el no va mas
Ser el primero que haga bromas del pequeño Nicolas
Que desgracia, salgo a la ciudad y no me escapo
Todo el día rodeado de Ranciofacts
Memes de Julio Iglesias, ya lo sabemos
Que si el vestido es blanco y dorado o azul y negro
Da igual, pónmelo bien lejos
Agotado de frases que te joden el cerebro

Trucs Ringards

Écoute-moi bien, toi qui es malade du feedback,
cette blague qui consiste à prendre un extrait audio de Pablo Iglesias ou de Rita Barberá, à le mettre
sur un rythme et à faire un rap avec… Ça ne fait pas rire ! Ça ne fait pas rire du tout !
C’est ringard !
Cette chanson est dédiée à un visionnaire : Pedro Vera
Ranciofacts brother
L’enfer existe et je suis sorti dans la rue pour t'entendre dire
que je ne suis pas une lumière,
mais là, les conversations,
elles sont du niveau :« Qu’elle est belle la nouvelle reine !»
Que peux-tu attendre d’un pays où les connards du Parti Populaire se répètent ?
J'en ai marre des discours, des crapules en conférence de presse
avec moins de voix que Luis Enrique.
Je l’entends toute la journée, comme un bruit de fond :
le dopage de Leo Messi, la nouvelle voiture d’Alonso…
Infecté par cette merde,
je vis parmi des experts en politique élevés aux débats de La Sexta,
qui se sont formés avec le 1, 2, 3 et Doña Ruperta
et les documentaires de la chaîne Histoire, ce qu’il y a de plus proche.
Et ils me graillent les oreilles avec leurs conneries,
attentifs à retweeter la moindre actu.
Des touristes en train de faire la blague pas drôle,
le coup de la photo en train de soutenir la tour de Pise.
Des conspirationnistes qui théorisent sur tout et n’importe quoi.
Parfois, j’aimerais que d’autres créatures gouvernent,
parce que l’homme a prouvé qu’il n’en était pas capable.
Il est temps que les femmes prennent le pouvoir.
Épuisé, des trucs ringards de tous les côtés,
comme cette histoire du prince qui était super bien préparé…
J’imagine que maintenant, en tant que roi, il vous plaît bien, bande de fachos ringards.
Je préfère être seul qu’entouré de cafards.
Il faut qu’il fasse le malin, qu’il soit le meilleur,
le premier à faire des blagues sur le petit Nicolas.
Quel enfer, je sors en ville et je n’y échappe pas.
Toute la journée entouré de trucs ringards.
Des mèmes de Julio Iglesias, on les connaît déjà.
Que la robe soit blanche et dorée ou bleue et noire,
peu importe, éloigne-moi ça.
J'en ai marre des phrases qui te bouffent le cerveau.

« Épuisé à jamais par ton discours. »

Je croise une vieille amie des soirées et la salue sans enthousiasme,
avec deux bises plus fausses que celle du dauphin de Punta Cana,
parce que je sais qu’elle va me raconter des trucs périmés,
qu’elle se souvient de mes cheveux longs et de mes t-shirts Nirvana.
Des trucs ringards, au bar en bas de chez moi.
Deux types de ma famille qui se disputent pour payer l’addition.
Le bourrin qui se tue à la salle pour son gros corps.
Le fainéant qui répète :« Courir, c’est pour les lâches !»
Des cauchemars en phrases si je mets le nez dehors.
J’ai l’impression d’être dans une BD de Pedro Vera.
Des ignorants qui parlent de Podemos en disant :
« Ce sont les mêmes chiens, mon frère, avec des colliers différents. »
Si on se fait toujours défoncer à la Coupe du monde,
c’est quoi, ce truc du vainqueur moral ?
Le quotidien peut être un supplice.
Des gosses qui parlent avec la syntaxe de Yoda… Putain, je ne comprends plus rien.
Si tu es né en Espagne, tu es espagnol, un point c’est tout.
Sauf Willy Toledo, citoyen du monde.
Si tu es comme ça, barre-toi.
Rien n’est plus épuisant que des conversations pleines de clichés.
Il faut qu’il fasse le malin, qu’il soit le meilleur,
le premier à faire des blagues sur le petit Nicolas.
Quel enfer, je sors en ville et je n’y échappe pas.
Toute la journée entouré de trucs ringards.
Des mèmes de Julio Iglesias, on les connaît déjà.
Que la robe soit blanche et dorée ou bleue et noire,
peu importe, éloigne-moi ça.
J'en ai marre des phrases qui te bouffent le cerveau.