Текст и перевод песни Traffic - John Barleycorn (Must Die) - 2010 Remaster

John Barleycorn (Must Die) - 2010 Remaster

There were three men came out of the West,
Their fortunes for to try,
And these three men made a solemn vow:
John Barleycorn must die.
They've ploughed, they've sown, they've harrowed him in,
Threw clods upon his head,
And these three men made a solemn vow:
John Barleycorn was dead.
They've let him lie for a very long time,
Till the rains from heaven did fall,
And little Sir John sprung up his head,
And so amazed them all.
They've let him stand till midsummer's day,
Till he looked both pale and wan,
And little Sir John's grown a long, long beard,
And so become a man.
They've hired men with the scythes so sharp,
To cut him off at the knee,
They've rolled him and tied him by the way,
Serving him most barbarously.
They've hired men with the sharp pitchforks,
Who pricked him to the heart,
And the loader he has served him worse than that,
For he's bound him to the cart
They've wheeled him around and around the field,
Till they came unto a barn,
And there they made a solemn oath,
On poor John Barleycorn.
They've hired men with the crab-tree sticks,
To cut him skin from bone,
And the miller he has served him worse than that,
For he's ground him between two stones.
And little Sir John and the nut-brown bowl,
And he's brandy in the glass;
And little Sir John and the nut-brown bowl,
Proved the strongest man at last.
The huntsman, he can't hunt the fox,
Nor so loudly to blow his horn,
And the tinker he can't mend kettle nor pot,
Without a little Barleycorn

John Barleycorn (Must Die) - 2010 Remaster

Il y avait trois hommes qui sont venus de l'Ouest,
Pour essayer leur fortune,
Et ces trois hommes ont fait un serment solennel :
John Barleycorn doit mourir.
Ils ont labouré, ils ont semé, ils l'ont enfoui,
Jetant des mottes de terre sur sa tête,
Et ces trois hommes ont fait un serment solennel :
John Barleycorn était mort.
Ils l'ont laissé reposer pendant très longtemps,
Jusqu'à ce que les pluies du ciel tombent,
Et le petit Sir John a levé la tête,
Et les a tous surpris.
Ils l'ont laissé pousser jusqu'au jour de la Saint-Jean,
Jusqu'à ce qu'il ait l'air pâle et faible,
Et le petit Sir John s'est fait une longue barbe,
Et est devenu un homme.
Ils ont embauché des hommes avec des faucilles bien aiguisées,
Pour le couper au niveau du genou,
Ils l'ont roulé et l'ont attaché en chemin,
Le traitant de façon extrêmement cruelle.
Ils ont embauché des hommes avec des fourches acérées,
Qui l'ont percé au cœur,
Et le chargeur l'a traité encore plus mal que ça,
Car il l'a attaché à la charrette.
Ils l'ont fait rouler autour et autour du champ,
Jusqu'à ce qu'ils arrivent à une grange,
Et là, ils ont fait un serment solennel,
Sur le pauvre John Barleycorn.
Ils ont embauché des hommes avec des bâtons de cornouiller,
Pour lui enlever la peau de l'os,
Et le meunier l'a traité encore plus mal que ça,
Car il l'a moulu entre deux pierres.
Et le petit Sir John et le bol brun-noisette,
Et il est du brandy dans le verre ;
Et le petit Sir John et le bol brun-noisette,
Se sont avérés les plus forts à la fin.
Le chasseur ne peut pas chasser le renard,
Ni sonner si fort de sa corne,
Et le rémouleur ne peut pas réparer la casserole ni la marmite,
Sans un peu de Barleycorn.