Текст и перевод песни Uğur Işılak - Bu Sen Değilsin

Bu Sen Değilsin

Sana belki de son şarkım bu
Iyi dinle belki de bu son şansın
Hasretten zevk alır oldum
ölümüne imzaladı parmaklarım
Dün gece yine bong yaptım
Hiç bir şey umrumda değil sanmışsın
Rüyam da seni gördüm ve uyandım
Halbuki sen dün gece yanmıştın
Hakkımı ver silahımı doldur beni vur herşeyi durdur öyle sıcak ki yanakların emin ol şu an da güneşimi dondurur
Odamı boğar yokluğun külleri üflüyorum sen yoksun diye çırpınarak kurtulurum sanıyodum ama sana baktıkça battım dibe kalbim kahrını çekmeye mahkum sigaramın dumanına sen diye bakıyorum
Sensizlik o kadar zor ki sigarayı peş peşe yakıyorum anla elimdem hiç bir şey mi gelmez be kadın resmine bakıyorum şu anda kendimi akrebe teslim ettim yaşıyorum öylece senle rüyamda kendimi dağlara taşlara vursam karanfiller ölür ismini sorsam ismimi sorsan çok kişi bilir ama keşke bir tanesi içten olsa sana sorsam kendimi kalbine salsam yüzünü avuçlarıma alsam bilir misin sen aşk deprem gibi her gece kalbimi ölümüne sarsan mezem olsa dudakların, alkole düsman olurdu dudaklarım ben her birinde bir gün otururum senin uğradığın durakların sensizliği meze yaptım güzel ve özenle ayıkladım bir fırt çektim özleminden sarhosuma ama yine ayakdayım.

The end

Ce n'est pas toi

C'est peut-être ma dernière chanson pour toi
Écoute bien, c'est peut-être ta dernière chance
J'ai commencé à prendre du plaisir dans le désir
Mes doigts ont signé la mort
Hier soir, j'ai encore fumé du bong
Tu as pensé que rien ne m'importait
Je t'ai vue en rêve et je me suis réveillé
Alors que tu brûlais hier soir
Je réclame mon dû, je charge mon arme, tire-moi, arrête tout, tes joues sont si chaudes, sois sûr que tu gèles mon soleil en ce moment
La poussière de ton absence étouffe ma chambre, je souffle, je pensais que je m'en sortirais en me débattant parce que tu n'es pas là, mais plus je te regarde, plus je m'enfonce au fond, mon cœur est condamné à souffrir, je regarde la fumée de ma cigarette et je vois ton visage
Être sans toi est tellement difficile que je fume cigarette sur cigarette, comprends-tu que je ne peux rien faire, ma chérie, je regarde ta photo, je me suis remis à l'heure actuelle entre les mains du scorpion, je vis comme ça, dans mes rêves avec toi, je me frappais aux montagnes et aux pierres, les œillets mourraient, si je demandais ton nom, si tu demandais mon nom, beaucoup de gens le sauraient, mais j'aimerais qu'un seul le sache de tout son cœur, si je te le demandais, si je me laissais tomber dans ton cœur, si je prenais ton visage dans mes mains, sais-tu que l'amour, comme un tremblement de terre, secoue mon cœur à mort chaque nuit, tes lèvres seraient mon poison, mes lèvres seraient ennemies de l'alcool, j'assisterais à chacun de tes arrêts, j'ai fait de ton absence mon hors d'œuvre, j'ai soigneusement désossé, j'ai pris une gorgée, je suis devenu ivre de ton désir, mais je suis toujours debout.

La fin