Текст и перевод песни Udo Jürgens - Keine war so wie du - Live 1994/95

Keine war so wie du - Live 1994/95

Damals war die Welt - so jung
Und der Himmel war so nah
Wir lagen in der Wiese
Dort, wo keiner uns sah
Unsre Zukunft schien - so klar
Du und ich und nichts als Spaß
Wir liebten uns im Mondlicht
Und schliefen ein im Gras
Ich glaube, dein Vater hielt nicht viel von mir
Und hatte recht
Ich wollte viel zu viel von dir - viel zu früh
Damals ist schon lang - vorbei
Doch noch heute frag ich mich
Was ist aus dir geworden
Ich denke oft an dich
Keine war so wie du - wie du - wie du
Nach dir kam nur ein Wandern
Von einer zur andern
Doch keine war so wie du - wie du -wie du
Ich ließ wirklich nichts aus
Das gebe ich zu
Doch keine war so wie du
Damals war die Welt - so jung
Und das Leben schien so leicht
Soviel Musik und Liebe
Daß es für immer reicht
Ich glaube, dein Vater nahm mich nicht sehr ernst
Er ahnte wohl
Daß du von mir nur Unsinn lernst - viel zu früh
Damals ist schon lang - vorbei
Doch ich denk noch oft daran
Dann lieg ich wach, und frag mich
Wie ich dir sagen kann

Jamais n'a été comme toi - En direct 1994/95

Dans ces temps-là, le monde était - si jeune
Et le ciel était si proche
Nous étions couchés dans l'herbe
Là où personne ne nous voyait
Notre avenir semblait - si clair
Toi et moi et rien que des rires
Nous nous aimions au clair de lune
Et nous nous endormions dans l'herbe
Je pense que ton père n'avait pas une haute opinion de moi
Et il avait raison
Je voulais beaucoup trop de toi - beaucoup trop tôt
C'est déjà loin, ce temps-là - est révolu
Mais encore aujourd'hui, je me demande
Ce que tu es devenue
Je pense souvent à toi
Aucune n'a été comme toi - comme toi - comme toi
Après toi, ce ne fut qu'un vagabondage
D'une à l'autre
Mais aucune n'a été comme toi - comme toi - comme toi
Je n'ai vraiment rien laissé de côté
Je l'avoue
Mais aucune n'a été comme toi
Dans ces temps-là, le monde était - si jeune
Et la vie semblait si légère
Tant de musique et d'amour
Que cela suffirait pour toujours
Je pense que ton père ne m'a pas pris très au sérieux
Il se doutait sans doute
Que tu n'apprendrais que des bêtises de moi - beaucoup trop tôt
C'est déjà loin, ce temps-là - est révolu
Mais j'y pense encore souvent
Alors, je reste éveillé et je me demande
Comment je peux te le dire