Текст и перевод песни Ulices Chaidez - Si Mañana Muero

Si Mañana Muero

Haciendo una pausa en mi vida
Me puse a reflexionar
Qué pasaría si no estuviera
Si de repente me fuera
Quien me vendría a acompañar
Eso me puse a pensar

Imaginándome ese día
Que en una caja voy a estar
Quienes estarán presentes
Y Quienes estarán ausentes
El día de mi funeral
Que caras voy a mirar

Escuchaba que lloraba gente que ni conocía
Que jamás mire en mi vida
Y los que decían llamarse verdaderas amistades
Ni se arriman a mirarme a mirarme
Y la familia donde está
No veo a ninguno que pensaba
Que ese día me iba a llorar

Y todas las que me quisieron
Donde están que no las veo
Ya se fue el que hacía dinero
Se acabó el cariño luego
No alcanzaron ni a rezar
Y se fueron con alguien más

Uno que otro festejando
Por qué ya no está el fulano
Alguien si le está pesando
Se que es sincero su llanto
La que no supo fallarme
Como siempre fue mi madre

Le tomé otro trago al bote
Y regrese a la realidad
No pude evitar llorar
Cual de todos los que dije fueras si mañana muero
Pero para ser sincero
No lo quiero ni pensar
No me quiero adelantar
Como duele la verdad

Si Mañana Muero

Faisant une pause dans ma vie
Je me suis mis à réfléchir
Que se passerait-il si je n'étais pas là
Si je partais soudainement
Qui viendrait me tenir compagnie
C'est à cela que je me suis mis à penser

En imaginant ce jour
Où je serai dans un cercueil
Qui sera présent
Et qui sera absent
Le jour de mes funérailles
Quels visages je vais regarder

J'entendais pleurer des gens que je ne connaissais même pas
Que je n'avais jamais vus de ma vie
Et ceux qui prétendaient être de vrais amis
Ne s'approchent même pas pour me regarder
Et la famille, où est-elle ?
Je ne vois personne de ceux que je pensais
Qui pleurerait ce jour-là

Et toutes celles qui m'ont aimé
Où sont-elles ? Je ne les vois pas
Celui qui gagnait de l'argent est parti
L'affection a pris fin
Ils n'ont même pas eu le temps de prier
Et ils sont partis avec quelqu'un d'autre

L'un ou l'autre fête
Parce que le type n'est plus là
Quelqu'un souffre vraiment
Je sais que ses larmes sont sincères
Celle qui n'a jamais su me trahir
Comme toujours, ma mère

J'ai pris un autre verre du bidon
Et je suis retourné à la réalité
Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer
Lequel de tous ceux que j'ai nommés serait là si je mourais demain ?
Mais pour être honnête
Je ne veux même pas y penser
Je ne veux pas anticiper
Comme la vérité fait mal