Текст и перевод песни Uncle Dave Macon - Give Me Back My Five Dollars

Give Me Back My Five Dollars

"Spoken: Well friends I'm mighty sorry to tell you,
But men's a getting mighty sorry in my state, in Tennessee.
Now I'll sing you a song of a young man whose married three weeks and
Got a divorce and wanted the poor old Methodist preacher to give him
His five dollars back.
But you must remember King David and King Solomon lived merry,
Merry lives for they had many many wives,
But when old age overtook them, they became very calm,
King Solomon wrote the proverbs and David wrote the Psalms."

We decided to get married, my little gal and I
But the day I bought the license, I let my freedom fly
We walked up to the preacher, said yes to all he said
And if I had it to do again, I'd shoot myself instead

Oh, give me back my five dollars, I paid for a wife
I was a fool to pay someone, to sentence me for life

The first month she was sweet as a melon on the vine
I thought it was my lucky day when I asked her to be mine
She look so doggone pretty, she like to took my breath
But when I saw my motherinlaw, I darn nigh choked to death

Oh, give me back my five dollars, I paid for a wife
I was a fool to pay someone, to sentence me for life

I took her to our home up East, I told her to see the sights
She come in about daylight, Oh, "Where do you spend your nights?"
She bought out half the city, silk dresses and gold braid
I could have bought the Brooklyn bridge with half the bills I paid

Oh, give me back my five dollars, I paid for a wife
I was a fool to pay someone, to sentence me for life

Young men stay single, for marriage is baloney
It would break up a millionaire to pay her alimony
Single men, stay single, don't marry you a wife
A bachelor's life is heaven, compared to married life

Oh, give me back my five dollars, I paid for a wife
I was a fool to pay someone, to sentence me for life

Rends-moi mes cinq dollars

"Parlé : Eh bien, mes amis, je suis vraiment désolé de vous le dire,
Mais les hommes deviennent vraiment désespérés dans mon État, au Tennessee.
Maintenant, je vais te chanter une chanson sur un jeune homme qui est marié depuis trois semaines et
A divorcé et voulait que le pauvre vieux prédicateur méthodiste lui rende
Ses cinq dollars.
Mais souviens-toi que le roi David et le roi Salomon ont vécu des vies joyeuses,
Des vies joyeuses car ils avaient beaucoup, beaucoup de femmes,
Mais quand la vieillesse les a rattrapés, ils sont devenus très calmes,
Le roi Salomon a écrit les Proverbes et David a écrit les Psaumes."

On a décidé de se marier, ma petite et moi
Mais le jour où j'ai acheté le permis, j'ai laissé ma liberté s'envoler
On a marché jusqu'au prédicateur, on a dit oui à tout ce qu'il a dit
Et si je devais recommencer, je me tirerais une balle à la place

Oh, rends-moi mes cinq dollars, je les ai payés pour une femme
J'étais un idiot de payer quelqu'un pour me condamner à vie

Le premier mois, elle était douce comme un melon sur la vigne
Je pensais que c'était mon jour de chance quand je lui ai demandé de m'épouser
Elle avait l'air tellement belle, elle m'a presque coupé le souffle
Mais quand j'ai vu ma belle-mère, j'ai failli étouffer

Oh, rends-moi mes cinq dollars, je les ai payés pour une femme
J'étais un idiot de payer quelqu'un pour me condamner à vie

Je l'ai emmenée dans notre maison à l'est, je lui ai dit de voir les sites
Elle est rentrée au petit matin, "Où est-ce que tu passes tes nuits ?"
Elle a racheté la moitié de la ville, des robes en soie et des galons dorés
J'aurais pu acheter le pont de Brooklyn avec la moitié des factures que j'ai payées

Oh, rends-moi mes cinq dollars, je les ai payés pour une femme
J'étais un idiot de payer quelqu'un pour me condamner à vie

Reste célibataire, mon garçon, car le mariage, c'est du vent
Ça ruinerait un millionnaire de payer sa pension alimentaire
Reste célibataire, mon garçon, ne te marie pas
La vie de célibataire est le paradis, comparée à la vie de marié

Oh, rends-moi mes cinq dollars, je les ai payés pour une femme
J'étais un idiot de payer quelqu'un pour me condamner à vie