Текст и перевод песни Vasco Rossi - Walzer Di Gomma

Walzer Di Gomma

Corre la gioventù
Corre e non torna più
Passano gli anni e poi
Non passan più
Bella la gioventù
Passa e non torna più

Quando mi trovo a passare di qua
Sento la gente cantare
Vedo le donne cambiare opinione
Senza lasciarsi fregare

Batto la testa in un mare di gomma
Battere non mi fa male
Ma le mie mani non toccano niente
Le senti solo affondare

Quando mi trovo a volare in alto sopra al mondo
Vedo la gente scappare
Sento che arrivano gli uomini con il fucile
Sento che vogliono sparare

Batto più forte la testa nel muro
Battere fa rimbalzare
Mentre la gomma non fa il minimo rumore
La senti solo affondare

Quando la sera diventa più buia
Dopo una giornata splendida di sole
Sento il respiro, il respiro del mare
Dentro la gente che muore

Morbida, soffice, bianca è la gomma
E la mia mente ci affonda
Non mi ricordo che cosa devo ricordare
Non mi ricordo il mio nome

Ecco che si è alzato il vento
Ora lo sento fischiare
Dentro le foglie lo sento gridare
Sembra che voglia parlare

Battere, battere sempre più forte
Battere per non pensare
Dentro la testa il cervello si smuove
Adesso può rotolare

Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotolante, rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là

Corre la gioventù
Corre e non torna più
Passano gli anni e poi non passan più
Bella la gioventù
Passa e non torna più
E questa guerra invece non passa più

Rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola, rotola
Rotola, rotola, rotola, rotola, rotola di qua e di là

Valzer Di Gomma

La jeunesse court
Elle court et ne revient plus
Les années passent et puis
Elles ne passent plus
Belle est la jeunesse
Elle passe et ne revient plus

Quand je me retrouve à passer par ici
J'entends les gens chanter
Je vois les femmes changer d'avis
Sans se laisser bercer

Je cogne ma tête dans une mer de caoutchouc
Cogner ne me fait pas mal
Mais mes mains ne touchent rien
Tu les sens juste couler

Quand je me retrouve à voler haut au-dessus du monde
Je vois les gens s'enfuir
J'entends les hommes arriver avec leur fusil
J'entends qu'ils veulent tirer

Je cogne plus fort ma tête contre le mur
Cogner fait rebondir
Alors que le caoutchouc ne fait pas le moindre bruit
Tu le sens juste couler

Quand le soir devient plus sombre
Après une journée ensoleillée
J'entends la respiration, la respiration de la mer
Dans les gens qui meurent

Doux, moelleux, blanc est le caoutchouc
Et mon esprit y coule
Je ne me souviens pas de ce que je dois me rappeler
Je ne me souviens pas de mon nom

Voici que le vent s'est levé
Maintenant je le sens siffler
Dans les feuilles je le sens crier
Il semble qu'il veuille parler

Cogner, cogner toujours plus fort
Cogner pour ne pas penser
Dans ma tête le cerveau se déplace
Maintenant il peut rouler

Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roulant, roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre

La jeunesse court
Elle court et ne revient plus
Les années passent et puis elles ne passent plus
Belle est la jeunesse
Elle passe et ne revient plus
Et cette guerre au contraire ne passe plus

Roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre
Il roule, roule, roule, roule, roule, roule
Il roule, roule, roule, roule, roule d'un côté à l'autre