Текст и перевод песни Vianney - Quand je serai père (Live)

Quand je serai père (Live)

On pousse dans un jardin ou rien ne nous manque,
De l′eau du feu du vin autant qu'on en demande.
Les feuilles font ce que nous mangeons,
Et les gens seuls sont ce que nous laissons.
De nos idées la seule qui compte,
De pousser plus vite que notre ombre,
Et je le sais tu le sais on ne fait que s′aider,
Mais on laisse à l'après que ce que l'on a pas fait.
Quand je serai père mes chers enfants,
Ne me demandez pas où est passé l′automne.
Et puis l′hiver et le printemps,
Épargnez moi.
Quand je serai père mes chers enfants,
Je ne dirai pas que j'en ai fait des tonnes.
Le temps d′hier fait le suivant,
Épargnez moi.
Il nous ait arrivé que quelques arbres menacent,
De changer le jardin et d'en effacer les traces.
De changer n′enchante jamais,
Et comme geler ne peut pas bouger.
De nous idée la seule qui vaille,
De ne jamais passer pour un valet.
Et j'oublie, tu oublie que rien ne vaut la vie,
Et la vie vaut par ce qu′on laisse à l'avenir.
Quand je serai père mes chers enfants,
Ne me demandez pas où est passé l'automne.
Et puis l′hiver et le printemps,
Épargnez moi.
Quand je serai père mes chers enfants,
Je ne dirai pas que j′en ai fait des tonnes.
Le temps d'hier fait le suivant,
Épargnez moi.
J′aurais pu, j'aurais dû, j′aurais eu le salut,
J'aurais pu, j′aurais dû jamais vu l'espoir.
J'aurais pu, j′aurais dû, j′aurais eu le salut,
J'aurais pu, j′aurais dû jamais vu l'espoir.
J′aurais pu, j'aurais dû, j′aurais eu le salut,
J'aurais pu, j'aurais dû jamais vu l′espoir.
J′aurais pu, j'aurais dû, j′aurais eu le salut,
J'aurais pu, j′aurais dû, j'aurais eu le salut,
J′aurais pu, j'aurais dû jamais vu l'espoir.
J′aurais pu, j′aurais dû, j'aurais eu le salut,
J′aurais pu, j'aurais dû jamais vu l′espoir.
J'aurais pu, j′aurais dû, j'aurais eu le salut,
J'aurais pu, j′aurais dû jamais vu l′espoir.
J'aurais pu, j′aurais dû, j'aurais eu le salut.
Quand je serai père mes chers enfants,
Ne me demandez pas où est passé l′automne.
Et puis l'hiver et le printemps,
Épargnez moi.
Quand je serai père mes chers enfants,
Je ne dirai pas que j′en ai fait des tonnes.
Le temps d'hier fait le suivant,
Épargnez moi.
Épargnez moi.

When I'll Be a Father (Live)

We grow in a garden where nothing is missing,
Water, fire, wine, as much as we ask for.
The leaves make what we eat,
And the lonely people are what we leave behind.
Of our ideas, the only one that matters,
Is to grow faster than our shadow,
And I know, you know, we only help each other,
But we leave for later what we haven't done.
When I'll be a father, my dear children,
Don't ask me where autumn has gone.
And then winter and spring,
Spare me.
When I'll be a father, my dear children,
I won't say that I've done tons.
Yesterday's time makes the next,
Spare me.
It has happened that some trees threaten,
To change the garden and erase its traces.
Change never enchants,
And like freezing cannot move.
Of our ideas, the only one that's worth,
Is to never pass for a servant.
And I forget, you forget that nothing is worth life,
And life is worth by what we leave for the future.
When I'll be a father, my dear children,
Don't ask me where autumn has gone.
And then winter and spring,
Spare me.
When I'll be a father, my dear children,
I won't say that I've done tons.
Yesterday's time makes the next,
Spare me.
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have never seen hope.
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have never seen hope.
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have never seen hope.
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have never seen hope.
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have never seen hope.
I could have, I should have, I would have had salvation,
I could have, I should have never seen hope.
I could have, I should have, I would have had salvation.
When I'll be a father, my dear children,
Don't ask me where autumn has gone.
And then winter and spring,
Spare me.
When I'll be a father, my dear children,
I won't say that I've done tons.
Yesterday's time makes the next,
Spare me.
Spare me.