Текст и перевод песни Victor Bernal - Maldita Soledad

Maldita Soledad

¡Qué sentimiento!

Cuando te busco en mi maldita soledad
Y me doy cuenta que hace tiempo estoy sin verte
La distancia está perdida totalmente
Mi angustia se apoderan de mi ser
La distancia está perdida totalmente
Mi angustia se apoderan de mi ser

Maldita soledad, ¿por qué llegaste?
Enseñame el amor que un día se fue
Yo sé que a ella también la visitaste
Por culpa tuya no la he vuelto a ver
Yo sé que a ella también la visitaste
Por culpa tuya no la he vuelto a ver

Eh, eh, eh

Dejas historias que jamás podrán borrar
Son el reflejo de un pasado indiferente
Yo te recuerdo y ni siquiera estás presente
A lo mejor tú estás sufriendo igual que yo
Yo te recuerdo y ni siquiera estás presente
A lo mejor tú estás sufriendo igual que yo

Maldita soledad, ¿por qué llegaste?
Enseñame el amor que un día se fue
Yo sé que a ella también la visitaste
Por culpa tuya no la he vuelto a ver
Yo sé que a ella también la visitaste
Por culpa tuya no la he vuelto a ver

Eh, eh, eh

Victor Bernal, dibújale sentimiento

Maudite solitude

Quel sentiment !

Quand je te cherche dans ma maudite solitude
Et je me rends compte que je suis sans te voir depuis longtemps
La distance est totalement perdue
Mon angoisse s’empare de mon être
La distance est totalement perdue
Mon angoisse s’empare de mon être

Maudite solitude, pourquoi es-tu arrivée ?
Montre-moi l’amour qui s’en est allé un jour
Je sais qu’elle t’a aussi rendue visite
À cause de toi, je ne l’ai plus jamais vue
Je sais qu’elle t’a aussi rendue visite
À cause de toi, je ne l’ai plus jamais vue

Eh, eh, eh

Tu laisses des histoires que personne ne pourra jamais effacer
Elles sont le reflet d’un passé indifférent
Je me souviens de toi et tu n’es même pas là
Peut-être souffres-tu autant que moi
Je me souviens de toi et tu n’es même pas là
Peut-être souffres-tu autant que moi

Maudite solitude, pourquoi es-tu arrivée ?
Montre-moi l’amour qui s’en est allé un jour
Je sais qu’elle t’a aussi rendue visite
À cause de toi, je ne l’ai plus jamais vue
Je sais qu’elle t’a aussi rendue visite
À cause de toi, je ne l’ai plus jamais vue

Eh, eh, eh

Victor Bernal, dessine-lui du sentiment