Текст и перевод песни Vincent Niclo - Les jours sans

Les jours sans

J'ouvre tes lettres chaques semaines
Tu me parles de ta réalité
Et de ma vie, pour te faire rêver
Toutes ses paillettes
Ces beaux hôtels
Si tu savais
C'est pas comme ça au quotidien
Les comptes de fée
Ont eux aussi des lendemains
Il y a les jours sans
Je peux te dire qu'il y en a
Faut faire avec, a défaut de faire semblant
Je pleure comme tout le monde
Quand je rentre seul chez moi
Le coeur assec, et que personne ne m'attend
Et des jours sans, je peux te dire il y en a.
Il y en a.
Mes sourrires dans les magazines.
Les plages immenses, carte postale.
On dirait un monde idéal.
Comme tellement de gens l'imagine.
Bien sûr il y a pire.
Je ne voudrais pas être indécent.
Mais des jours sans, je peuxte dire qu'il y en a.
Faut faire avec, a défaut de fairesemblant.
Je pleure comme tout le monde
Quand je rentre seul chez moi
Le coeur assec et que personne ne m'attend
Et des jours sans
Je peux te dire qu'il y en a, il y en a.
Tu dis ne pas avoir d'avenir
Encore moins une raison d'être
Tu regardes par la fenêtre
Quelques fois le vide t'attire
Mes des jours sans
Je peux te dire qu'il y en a
Faut faire avec, a défaut de faire semblant
Et des jours sans
Je peux te dire qu'il y en a, il y en a.
Il y en a

Fin

Days Without

I open your letters every week
You tell me about your reality
And about my life, to make you dream
All its glitters
These beautiful hotels
If you only knew
It's not like that everyday
Fairy tales
Have their own hangovers too
There are days without
I can tell you that there are
You have to face them, instead of pretending
I cry just like everyone else
When I return home alone
Empty-hearted, and no one is waiting for me
And of days without, I can tell you there are plenty
There are plenty
My smiles in the magazines
The immense beaches, picture postcards
It looks like an ideal world
Like so many people imagine
Of course, there is worse
I wouldn't want to be indecent
But of days without, I can tell you there are plenty
You have to face them, instead of pretending
I cry just like everyone else
When I return home alone
Empty-hearted, and no one is waiting for me
And days without
I can tell you that there are plenty, there are plenty
You say you have no future
Even less a reason to be
You look out the window
Sometimes, the void attracts you
But of days without
I can tell you that there are
You have to face them, instead of pretending
And days without
I can tell you that there are plenty, there are plenty
There are plenty

The End