Текст и перевод песни WagakkiBand - エゴロック

エゴロック

Hey!

腑抜けた心に I need you
噂のアルカロイド
あだ名はネットの髑髏
かき鳴らせディストーション

付け焼き刃の侍が
乱れ打つ散弾銃
悲劇の歴史で踊ろうか
ほらテンテコへンテコ舞

僕の心はエゴロック斜め45度ナンセンス
ノウハウ砕いてマンネリを明日にバイバイバイ

媚びへつらうその姿 吐き気の空模様
シニカルな視線の雨 今日も両目を塞ぐふり

おちゃらけ頭に I need you
巷のアルカロイド
あの子も流行のインスタントショー
撒き散らせ D-I-D

うだつが上がらぬ侍が
未来断つ哀悼歌
無残な歴史で歌おうよ
ほらチャンチャラナンチャラ舞

ロックな心で生きようか
真夏並み hotなミュージック
ハウツー砕いて丸書いて 明日もワッハッハ

洒落臭さも癖になる はみ出し者だろ
リリカルな視線の雨 今日も両目を開くふり

透明な感情は染まるだけさ
だったら見て見ぬふりする奴らを押し出せ

人生かけても負けそうです
勝ち負け取り憑かれナンセンス
1分砕いて常識を 未来に say goodbye

僕の心はエゴロック斜め45度ナンセンス
ノウハウ砕いてマンネリを明日にバイバイバイ

媚びへつらうその姿 吐き気の空模様
シニカルな視線の雨 今日も両目を塞ぐふり
One, two, three ふぁっきゅー

Ego Rock

Hey!

À mon cœur apathique, j'ai besoin de toi,
Cet alcaloïde dont on parle tant,
Surnommé le crâne du net,
Fais vibrer la distorsion.

Ce samouraï de pacotille
Tire à tout va avec son fusil à pompe.
Dansons sur l'histoire tragique,
Viens, une danse absurde et désordonnée.

Mon cœur est un ego rock, incliné à 45 degrés, absurde,
Brisons le savoir-faire, disons adieu à la monotonie.

Ton air obséquieux, un ciel nauséeux,
La pluie de tes regards cyniques, je fais encore semblant de fermer les yeux.

À mon esprit farceur, j'ai besoin de toi,
L'alcaloïde populaire,
Elle aussi, c'est un spectacle instantané à la mode,
Répandons le D-I-D.

Ce samouraï incapable de réussir
Chante une complainte qui coupe court à l'avenir.
Chantons sur l'histoire tragique,
Viens, une danse ridicule et insensée.

Vivons avec un cœur rock,
Une musique chaude comme en plein été,
Brisons les méthodes, dessinons un cercle, et rions encore demain.

Même la prétention devient une addiction, on est des marginaux, n'est-ce pas ?
La pluie de tes regards lyriques, je fais encore semblant d'ouvrir les yeux.

Les sentiments transparents ne font que se teindre,
Alors repoussons ceux qui font semblant de ne rien voir.

Même en y mettant toute ma vie, j'ai l'impression de perdre,
Obnubilé par la victoire et la défaite, c'est absurde,
Brisons une minute, disons au revoir au bon sens.

Mon cœur est un ego rock, incliné à 45 degrés, absurde,
Brisons le savoir-faire, disons adieu à la monotonie.

Ton air obséquieux, un ciel nauséeux,
La pluie de tes regards cyniques, je fais encore semblant de fermer les yeux.
Un, deux, trois, va te faire foutre.