Текст и перевод песни Wanda Jackson - Those Were The Days

Those Were The Days

Once upon a time there was a tavern where we used to raise a glass or two
Remember how we laughed away the hours
And think of all the great things we would do
Then the busy years went rushing by us we lost our starry notions on the way
If by chance I'd see you in the tavern we'd smile at one another and we'd say
Those were the days my friend we thought they'd never end
We'd sing and dance forever and a day
We'd live the life we chose we'd fight and never lose
For we were young and sure to have our way
La la la la la lay those were the days oh yes those were the days
Just tonight I stood before the tavern nothing seemed the way it used to be
In the glass I saw a strange reflection oh was that lonely woman really me
Through the door there came familiar laughter
I saw your face and heard you call my name
Oh my friend we're older but no wiser for in our hearts the dreams are still the same
Those were the days...

Ce Furent Des Jours

Il y avait autrefois une taverne où nous avions l'habitude de lever un verre ou deux
Souviens-toi comment nous riions pendant des heures
Et pensons à toutes les grandes choses que nous ferions
Puis les années chargées se sont écoulées en nous précipitant, nous avons perdu nos notions étoilées en chemin
S'il m'arrivait de te voir dans la taverne, nous nous souririons l'un à l'autre et nous dirions
C'étaient les jours, mon ami, nous pensions qu'ils ne finiraient jamais
Nous chanterions et danserions pour toujours et un jour
Nous vivrions la vie que nous avons choisie, nous nous battions et ne perdrions jamais
Car nous étions jeunes et sûrs d'avoir notre chemin
La la la la la lay c'étaient les jours oh oui c'étaient les jours
Ce soir, je me tenais devant la taverne, rien ne semblait être comme avant
Dans le verre, je voyais un étrange reflet, cette femme solitaire, était-ce vraiment moi ?
Un rire familier traversa la porte
Je vis ton visage et t'entendis m'appeler par mon nom
Oh mon ami, nous sommes plus vieux mais pas plus sages, car dans nos cœurs, les rêves sont toujours les mêmes
C'étaient les jours...