Текст и перевод песни Warcry - Mirando al Mar

Mirando al Mar

Solo en esta celda, en esta fría prisión,
Condenado por extraños, espero mi ejecución.
Yo sé que hoy moriré mirando al mar.

No me hicieron juicio, no fue necesario hablar,
Extraño en su tierra, el enemigo mortal.
Yo sé que hoy moriré mirando al mar.

¡Yo sé que hoy moriré mirando al mar!

Lejos, muy, muy lejos,
Más allá del ancho mar
Se encuentra una tierra
A la que llamo mi hogar.

Y sé que no..., no, no, no.
Nunca más yo voy a volver.
Y sé que no..., no, no, no.
El futuro se acaba este amanecer.

Pienso en los hombres, que nos mandan a luchar,
Por oro y por tierras que el pueblo nunca tendrá.

Y sé que no..., no, no, no...,
No es justo que deba morir.
Y sé que no..., no, no, no...,
Pero soy un soldado y esto elegí.

Déjame contemplar el sol,
Será la última vez que sienta su calor.
Matadme mirando hacia el mar,
Así mi alma sabrá cómo regresar.

Intentaré perderme allí,
Donde empiezan los sueños.
Quizás así todo el dolor
Que sienta me sea ajeno.

Lejos, muy, muy lejos,
Oiré armas disparar,
Y en mi interior
Una voz me grita que debo volar..., volar.

Miro al carcelero, ya mi tiempo se acabó
Busco entre ellos al que manda el pelotón y le pido:

Déjame contemplar el sol,
Será la última vez que sienta su calor.
Matadme mirando hacia el mar,
Así mi alma sabrá cómo regresar.

Matadme mirando hacia el mar,
Así mi alma sabrá cómo regresar...

Déjame contemplar el sol,
Será la última vez que sienta su calor.

Lejos, muy, muy lejos,
Oiré armas disparar,
Y en mi interior
Una voz me grita que debo volar...

¡Volar, volar, volar!

Mirando al Mar

Seul dans cette cellule, dans cette prison froide,
Condamné par des étrangers, j'attends mon exécution.
Je sais qu'aujourd'hui je mourrai en regardant la mer.

Ils ne m'ont pas jugé, il n'était pas nécessaire de parler,
Étranger sur leur terre, l'ennemi mortel.
Je sais qu'aujourd'hui je mourrai en regardant la mer.

Je sais qu'aujourd'hui je mourrai en regardant la mer !

Loin, très, très loin,
Au-delà de la large mer
Se trouve une terre
Que j'appelle mon foyer.

Et je sais que je ne..., non, non, non.
Je ne reviendrai jamais.
Et je sais que je ne..., non, non, non.
L'avenir se termine à l'aube.

Je pense aux hommes qui nous envoient nous battre,
Pour l'or et les terres que le peuple n'aura jamais.

Et je sais que je ne..., non, non, non...,
Il n'est pas juste que je doive mourir.
Et je sais que je ne..., non, non, non...,
Mais je suis un soldat et c'est ce que j'ai choisi.

Laisse-moi contempler le soleil,
Ce sera la dernière fois que je sentirai sa chaleur.
Tuez-moi en regardant la mer,
Ainsi mon âme saura comment revenir.

J'essaierai de me perdre là-bas,
Où commencent les rêves.
Peut-être ainsi toute la douleur
Que je ressens me sera étrangère.

Loin, très, très loin,
J'entendrai les armes tirer,
Et en mon for intérieur
Une voix me crie que je dois voler..., voler.

Je regarde le geôlier, mon temps est écoulé
Je cherche parmi eux celui qui commande le peloton et je lui demande :

Laisse-moi contempler le soleil,
Ce sera la dernière fois que je sentirai sa chaleur.
Tuez-moi en regardant la mer,
Ainsi mon âme saura comment revenir.

Tuez-moi en regardant la mer,
Ainsi mon âme saura comment revenir...

Laisse-moi contempler le soleil,
Ce sera la dernière fois que je sentirai sa chaleur.

Loin, très, très loin,
J'entendrai les armes tirer,
Et en mon for intérieur
Une voix me crie que je dois voler...

Voler, voler, voler !