Текст и перевод песни Waterson:Carthy - The Old Churchyard

The Old Churchyard

Come, come with me out to the old churchyard,
I so well know those paths 'neath the soft green sward.
Friends slumber in there that we want to regard;
We will trace out their names in the old churchyard.

Mourn not for them, their trials are o'er,
And why weep for those who will weep no more?
For sweet is their sleep, though cold and hard
Their pillows may be in the old churchyard.

I know that it's vain when our friends depart
To breathe kind words to a broken heart;
And I know that the joy of life is marred
When we follow lost friends to the old churchyard.

But were I at rest 'neath yonder tree,
Oh, why would you weep, my friends, for me?
I'm so weary, so wayworn, why would you retard
The peace I seek in the old churchyard?

Why weep for me, for I'm anxious to go
To that haven of rest where no tears ever flow;
And I fear not to enter that dark lonely tomb
Where our saviour has lain and conquered the gloom.

I rest in the hope that one bright day
Sunshine will burst to these prisons of clay,
And old Gabriel's trumpet and voice of the Lord
Will wake up the dead in the old churchyard.

Le Vieux Cimetière

Viens, viens avec moi au vieux cimetière,
Je connais si bien ces sentiers sous la douce pelouse verte.
Des amis y dorment que nous voulons revoir ;
Nous retracerons leurs noms dans le vieux cimetière.

Ne pleure pas pour eux, leurs épreuves sont terminées,
Et pourquoi pleurer pour ceux qui ne pleureront plus ?
Car doux est leur sommeil, bien que froids et durs
Puissent être leurs oreillers dans le vieux cimetière.

Je sais que c'est vain quand nos amis partent
De souffler des paroles aimables à un cœur brisé ;
Et je sais que la joie de la vie est gâchée
Lorsque nous suivons nos amis perdus au vieux cimetière.

Mais si j'étais au repos sous cet arbre,
Oh, pourquoi pleureriez-vous, mes amis, pour moi ?
Je suis si fatigué, si usé, pourquoi retarderiez-vous
La paix que je recherche dans le vieux cimetière ?

Pourquoi pleurer pour moi, car je suis impatient d'y aller
À ce havre de paix où les larmes ne coulent jamais ;
Et je ne crains pas d'entrer dans ce sombre tombeau solitaire
Où notre sauveur a séjourné et vaincu les ténèbres.

Je repose dans l'espoir qu'un jour brillant
Le soleil jaillira sur ces prisons d'argile,
Et la trompette du vieux Gabriel et la voix du Seigneur
Réveilleront les morts dans le vieux cimetière.