Текст и перевод песни Woody Guthrie - Dusty Old Dust (So Long It's Been Good To Know Yuh) [Remastered]

Dusty Old Dust (So Long It's Been Good To Know Yuh) [Remastered]

I′ve sung this song, but I'll sing it again,
Of the place that I lived on the wild windy plains,
In the month called April, county called Gray,
And here′s what all of the people there say:

So long, it's been good to know yuh;
So long, it's been good to know yuh;
So long, it′s been good to know yuh.
This dusty old dust is a-gettin′ my home,
And I got to be driftin' along.

A dust storm hit, an′ it hit like thunder;
It dusted us over, an' it covered us under;
Blocked out the traffic an′ blocked out the sun,
Straight for home all the people did run,
Singin':

We talked of the end of the world, and then
We′d sing a song an' then sing it again.
We'd sit for an hour an′ not say a word,
And then these words would be heard:

Sweethearts sat in the dark and sparked,
They hugged and kissed in that dusty old dark.
They sighed and cried, hugged and kissed,
Instead of marriage, they talked like this:
"Honey..."

Now, the telephone rang, an′ it jumped off the wall,
That was the preacher, a-makin' his call.
He said, "Kind friend, this may the end;
An′ you got your last chance of salvation of sin!"

The churches was jammed, and the churches was packed,
An' that dusty old dust storm blowed so black.
Preacher could not read a word of his text,
An′ he folded his specs, an' he took up collection,

Poussière vieille et poussiéreuse (Au revoir, ça a été un plaisir de te connaître) [Remasterisé]

J'ai chanté cette chanson, mais je vais la chanter encore,
De l'endroit où j'ai vécu dans les plaines venteuses,
Au mois d'avril, dans le comté de Gray,
Et voici ce que toutes les personnes là-bas disent :

Au revoir, ça a été un plaisir de te connaître ;
Au revoir, ça a été un plaisir de te connaître ;
Au revoir, ça a été un plaisir de te connaître.
Cette vieille poussière poussiéreuse est en train de devenir ma maison,
Et je dois partir à la dérive.

Une tempête de poussière a frappé, et elle a frappé comme le tonnerre ;
Elle nous a recouverts de poussière, et elle nous a enterrés ;
Elle a bloqué le trafic et elle a bloqué le soleil,
Tout le monde a couru directement vers la maison,
En chantant :

On a parlé de la fin du monde, et puis
On a chanté une chanson et puis on l'a chantée encore.
On s'est assis pendant une heure sans dire un mot,
Et puis ces mots ont été entendus :

Les amoureux se sont assis dans le noir et ont allumé des allumettes,
Ils se sont serrés dans leurs bras et embrassés dans cette obscurité poussiéreuse.
Ils ont soupiré et pleuré, se sont serrés dans leurs bras et embrassés,
Au lieu de se marier, ils ont parlé comme ça :
« Chérie... »

Alors, le téléphone a sonné, et il a sauté du mur,
C'était le prédicateur, qui passait un appel.
Il a dit : « Cher ami, c'est peut-être la fin ;
Et tu as ta dernière chance de salut du péché ! »

Les églises étaient pleines, et les églises étaient bondées,
Et cette vieille tempête de poussière poussiéreuse soufflait si noir.
Le prédicateur ne pouvait lire aucun mot de son texte,
Et il a plié ses lunettes, et il a fait une quête,