Текст и перевод песни Yasmin Levy - Firuze

Firuze

Dime, que es lo que sientes, al ver
Que los sueños se han bebido tus años
Llora, llora Firuze, llora, llora por tu candor
Al recordar, tu hermosura en flor

Pero aquella flor, prendida en un zarzal
Perdió su olor, Firuze
Como aquel ruiseñor, que el bosque enjaulo
Quien va a oír su voz, Firuze

Igual que un vendaval, un rio que va al mar
No tienes que mirar atrás
Una noche es fugaz, dos para lamentar
Porque tanta prisa, Firuze

Dime, que es lo que sientes, al ver
Que los sueños se han bebido tus años
Llora, llora Firuze, llora, llora por tu candor
Al recordar, tu hermosura en flor

Tus tristes ojos ya no quieren aceptar
Que haya un precio que pagar
Por un regalo que, el cielo te dio
Tu belleza sin par, Firuze

Igual que un vendaval, un río que va al mar
No tienes que mirar atrás
Una noche es fugaz, dos para lamentar
¿Por qué tanta prisa, Firuze?

Igual que un vendaval, un río que va al mar
No tienes que mirar atrás
Una noche es fugaz, dos para lamentar
¿Por qué tanta prisa, Firuze?

Firuze

Dis-moi, que ressens-tu en voyant
Que les rêves ont bu tes années
Pleure, pleure Firuze, pleure, pleure ta candeur
En te souvenant de ta beauté en fleur

Mais cette fleur, accrochée à une ronce
A perdu son parfum, Firuze
Comme ce rossignol que la forêt a mis en cage
Qui entendra sa voix, Firuze

Comme un coup de vent, une rivière qui va à la mer
Tu n'as pas à regarder en arrière
Une nuit est éphémère, deux pour se lamenter
Pourquoi tant de hâte, Firuze

Dis-moi, que ressens-tu en voyant
Que les rêves ont bu tes années
Pleure, pleure Firuze, pleure, pleure ta candeur
En te souvenant de ta beauté en fleur

Tes tristes yeux ne veulent plus accepter
Qu'il y ait un prix à payer
Pour un cadeau que le ciel t'a fait
Ta beauté sans pareille, Firuze

Comme un coup de vent, une rivière qui va à la mer
Tu n'as pas à regarder en arrière
Une nuit est éphémère, deux pour se lamenter
Pourquoi tant de hâte, Firuze ?

Comme un coup de vent, une rivière qui va à la mer
Tu n'as pas à regarder en arrière
Une nuit est éphémère, deux pour se lamenter
Pourquoi tant de hâte, Firuze ?