Текст и перевод песни Yerba Brava - Discriminado

Discriminado

Cumbia villera

Su suerte ya estaba escrita
Desde el momento en que nació
Hijo de padres villeros
Con la cumbia se crió
Y ahora que esta más grande
Y al baile quiere colar
El 'rati' con bronca grita:
"¡Negro villa, vo' no entrás!"

Todos se hacen los giles
Te dejan siempre tirado
Que por ser negro villero
El estaba condenado

Todos se hacen los giles
Te dejan siempre tirado
Que por ser negro villero
El estaba condendado

Con sentimiento villero
Esto es Yerba brava

Con el trabajo tampoco pega
De todos lados el rebotó
Le buscan todos los peros
Cansado el negro ya se rindió
La sociedad no le dió salida
Y el mal camino el encaró
En una noche pesada
La muerte se lo llevo-o-o-o-o

Todos se hacen los giles
Te dejan siempre tirado
Que por ser negro villero
El estaba condenado

Todos se hacen los giles
Te dejan siempre tirado
Que por ser negro villero
El estaba-a-a-a-a condenado...

Discriminé

Cumbia villera

Ton destin était déjà écrit
Dès le moment où tu es né
Fils de parents des quartiers pauvres
Tu as grandi avec la cumbia
Et maintenant que tu es plus grand
Et que tu veux entrer dans la danse
Le 'rati' crie avec colère :
« Noir du ghetto, tu n'entres pas ! »

Tout le monde fait semblant d'être stupide
Ils te laissent toujours tomber
Parce que tu es un noir du ghetto
Tu étais condamné

Tout le monde fait semblant d'être stupide
Ils te laissent toujours tomber
Parce que tu es un noir du ghetto
Tu étais condamné

Avec un sentiment de ghetto
C'est Yerba Brava

Tu n'arrives pas à trouver du travail non plus
Tu as été rejeté de partout
Ils trouvent toujours des excuses
Le noir fatigué a fini par abandonner
La société ne lui a pas donné de solution
Et il a choisi la mauvaise voie
Dans une nuit lourde
La mort l'a emporté-é-é-é-é

Tout le monde fait semblant d'être stupide
Ils te laissent toujours tomber
Parce que tu es un noir du ghetto
Tu étais condamné

Tout le monde fait semblant d'être stupide
Ils te laissent toujours tomber
Parce que tu es un noir du ghetto
Tu étais-ais-ais-ais-ais condamné…