Текст и перевод песни Yuşa - Una Vaca y una Foca

Una Vaca y una Foca

Una mañana me puse a contarle una historia
De dos criaturas que aparecían en sus sueños
Una era dueña del mar, sabía secretos profundos, azules
Su casa era grande, vestida de algas,
Buscaba gaviotas para enamorarlas.

(Coro): Martín, no llores,
Juega, salta, canta tu canción
Que el sueño no demore, que la noche llega abriendo su telón.

La otra, tranquila, espantaba todas sus maldades
Allá en la pradera, con mil mariposas
Que al caer la noche serían estrellas.

Todo el universo se despierta para ti
Nuevas ilusiones que florecen en el tiempo de los cuentos...
Cuando en la mañana se me esfuma la ilusión
Recuerda que el día trae la noche
Y un cometa para subir...

(Coro): Martín, no llores,
Juega, salta, canta tu canción
Que el sueño no demore, que la noche llega abriendo su telón.

La vaca y la foca se miran, se tocan
Un beso en la boca me vas a pedir
Si sigues la huella de las cosas bellas
La puerta que encuentras la puedes abrir.

Había una vez una vaca y una foca
Que se vieron en un sueño
De un niño pequeño.
Le trajeron alegrías
Y al llegar la luz del día
Una sonrisa en sus ojos se dibujaría.

(Coro): Martín, no llores,
Juega, salta, canta tu canción
Que el sueño no demore, que la noche llega abriendo su telón.

Une vache et un phoque

Un matin, j'ai commencé à te raconter une histoire
De deux créatures qui apparaissaient dans tes rêves
L'une était maîtresse de la mer, elle connaissait des secrets profonds, bleus
Sa maison était grande, vêtue d'algues,
Elle cherchait des mouettes pour les séduire.

(Refrain): Martin, ne pleure pas,
Joue, saute, chante ta chanson
Que le rêve ne tarde pas, que la nuit arrive en ouvrant son rideau.

L'autre, tranquille, chassait toutes ses méchancetés
Là-bas dans la prairie, avec mille papillons
Qui, à la tombée de la nuit, seraient des étoiles.

Tout l'univers s'éveille pour toi
De nouvelles illusions qui fleurissent dans le temps des contes...
Quand le matin, l'illusion s'estompe
Rappelle-toi que le jour apporte la nuit
Et une comète pour monter...

(Refrain): Martin, ne pleure pas,
Joue, saute, chante ta chanson
Que le rêve ne tarde pas, que la nuit arrive en ouvrant son rideau.

La vache et le phoque se regardent, se touchent
Un baiser sur la bouche tu vas me demander
Si tu suis la trace des belles choses
La porte que tu trouves, tu peux l'ouvrir.

Il était une fois une vache et un phoque
Qui se sont rencontrés dans un rêve
D'un petit garçon.
Ils lui ont apporté de la joie
Et à l'arrivée de la lumière du jour
Un sourire dans ses yeux se dessinerait.

(Refrain): Martin, ne pleure pas,
Joue, saute, chante ta chanson
Que le rêve ne tarde pas, que la nuit arrive en ouvrant son rideau.