Текст и перевод песни ZPU feat. Desplante - Tod@s sois iguales

Tod@s sois iguales

Todas sois iguales
Que tendréis que cuando os conocéis os veis como rivales
Que animales de ciudad sienten su habitat en centros comerciales
Que males os traen de noche la jaqueca
Y que tendrá de divertido una muñeca
Pero espera es pecar si te pescan mirando a otra pava
Dicen hueles mal si en un par de días no te lavas
Inevitables miradas hacia tu escote
(Lo hago sin que se note)
Quien coño se esconde debajo de to' ese pote
Es lotería, despierto al mediodía y juraría que esta biatch
Estaba mejor cuando apenas veía pero,
Me da igual si no está mal yo estuve inmenso
Porque me hablarán de amor cuando yo quiero decir sexo
Es lo que pienso y si lo pienso lo digo somos sencillos
Dice vaya pinta tienes cuando estás en calzoncillos
Digo si yo soy así nena que quieres que le haga
Al menos no tengo una mente retorcida y rebuscada

Todos sois iguales asquerosamente idénticos
Dejados, insensibles y egocéntricos,
Sobrados pavos, pa' dos
Tías que has comío cuentas veinte
Líos entre tíos nunca hay demasiada gente pa'
Escuchar tus batallitas de la mili
Que si Pili en su kely con R Kelly o con Vanilli
O con vainilla en una silla
Las curvas de su rally, lo grabaste con la Philips
Pa' que puedan frotarse como animales,
Es delicioso ver tu rostro
Un abrazo apasionado es como estar besando a un oso,
Más maleducado, gasta el yogur caducao
Que has pillao esta mañana
El congelao estará bien pa' la velada con Ana
Que ella piensa que la quieres, sí,
Por supuesto que la quieres
Pero espatarrá en tu cama dando llama
Luego desde luego (claro),
Tú eres la paranoica
Él nunca llama a Mónica ¿estás tonta?

Todas (todos) sois iguales (si),
Siempre comiéndome la olla
(Simples como neandertales),
Tales para cuales cortes del mismo patrón
Siempre están con lo de ¡no me sacas fuera!
(Y él to'l día en el sillón)

Todas (todos) sois iguales (si),
Siempre comiéndome la olla
(Simples como neandertales),
Tales para cuales compartiendo el paraíso
Ellas siempre con la boda
(Y ellos con como escapar del compromiso)

El principito que antes era
Hoy es la bestia del presente
Más parecido a Torrente que a Banderas
Sillón, birra y panza fuera, queda
Poco de todo ese coco que me vendes fiera,
Desde ese "...nena te juro soy diferente..."
El más duro del lugar, el gran valiente
A lo Montana en versión cutre,
Búscate un loquero urgente, o vente,
Pa' matar arañas de cabañas en mitad de la montaña
Si te sientes más hombre,
Él coge la tostada mientras se frota el sobaco,
Soba to' lo que se mueve
Lo primero es su aparato, va con,
To' el aceite del bacon a gotas
Brotan de su boca y deja hecho polvo el salón
El nota prota dice "loca, yo te haré vibrar Carlota",
Pone acento de idiota
Pa amigar y ligar, no dialogar
Odia el hogar, prefiere el bar o el barco con arcón
Lleno de babys en almíbar pa' mojar
En Moet Chandon, fondón,
¿Dónde han quedao tus músculos?
Y ese del que presumes hoy se ve casi ridículo
¿Y tu culo? Ni hablemos,
Más pelos que los rulos de Rappel pero en moreno,
Sí, lo siento decírselo caballero,
Verle sin la ropa es más que un show, un shock,
Pa' los sentidos,
Macho ibérico español es su apellido,
Sí ¿tú pussy? Pues te apoya,
Tu no tienes un jacuzzi
Es una charca de bambollas

No pueden estarse quietas
Quien las entienda que asienta
Porque yo no
Siempre hablan con indirectas
Usan demasiao el ¡que mono!
Lo monopolizan todo
Como estantes del lavabo y
Pa' que tener novio si puede ser un esclavo alguna,
Dirá que no es verdad que ella es un sol
Y en realidad su mente estalla si no tiene el control
Y está orgullosa de poder hacer dos cosas a la vez
Pero la hermosa gasta una aparentando madurez
Les cuesta responder si no es, con otra pregunta
Abundan las ilusas que creen en, que el amor dura
Y dura y larga solo hay una y sé que quieres conocerla
Verdad cuanto más de estrecha en la cama más cerda
No te enfades por favor
Que aquí solo hay una experta
En los puñales del rencor y lo sabes en tu interior por,
Más que pasa el tiempo no llega el príncipe azul
Porque el más cool cuando empezabas ahora se ha vuelto un gandul
En tu baúl de los recuerdos, yo no soy un cerdo
Yo soy natural por eso me espachurro horizontal
Que tu susurro por mi cuello eriza el bello
Hace crecer mi catedral y es que al final siempre me aburro,
Su romanticismo a veces me abochorna men
Porque una cosa es ser sensible y otra ser pastel
Lo previsible de su enfado y tan fácil que la convenza
La paciencia pa' entender mujeres que ha de tener este sinvergüenza

Todas (todos) sois iguales (si),
Siempre comiéndome la olla
(Simples como neandertales),
Tales para cuales cortes del mismo patrón
Siempre están con lo de ¡no me sacas fuera!
(Y él to'l día en el sillón)

Todas (todos) sois iguales (si),
Siempre comiéndome la olla
(Simples como neandertales),
Tales para cuales compartiendo el paraíso
Ellas siempre con la boda
(Y ellos con como escapar del compromiso)

Vous êtes toutes pareilles

Vous êtes toutes pareilles
Qu'est-ce qu'il vous prend de vous voir comme des rivales quand vous vous rencontrez ?
Vous êtes des animaux des villes qui ne se sentent bien que dans les centres commerciaux.
Quels maux vous donnent la migraine la nuit ?
Et qu'y a-t-il d'amusant avec une poupée ?
Mais attention, c'est un péché si on te surprend à regarder une autre fille.
Elles disent que tu sens mauvais si tu ne te laves pas en deux jours.
Regards inévitables vers ton décolleté
(Je le fais discrètement)
Qui diable se cache sous tout ce maquillage ?
C'est la loterie, je me réveille à midi et je jurerais que cette pétasse
Était mieux quand je la voyais à peine, mais bon,
Peu importe, j'étais énorme
Parce qu'elles me parleront d'amour alors que je veux dire sexe.
C'est ce que je pense, et si je le pense, je le dis, nous sommes simples.
Elle dit : "T'as vu ta tête en caleçon ?"
Je dis : "Si je suis comme ça, bébé, qu'est-ce que tu veux que je lui fasse ?"
Au moins, je n'ai pas l'esprit tordu et tortueux.

Vous êtes tous pareils, dégoûtants d'être si identiques
Détachés, insensibles et égocentriques
Des mecs en trop, pour deux
Des filles que t'as baisées, tu peux en compter vingt.
Des histoires entre mecs, il n'y a jamais trop de monde pour
Écouter tes histoires de caserne
De Pili dans son k-way avec R Kelly ou Vanilli
Ou à la vanille sur une chaise
Les courbes de son rallye, tu l'as filmé avec ta Philips
Pour qu'ils puissent se frotter comme des animaux
C'est délicieux de voir ton visage
Un câlin passionné, c'est comme embrasser un ours
Encore plus malpoli, il finit le yaourt périmé
Que t'as chopé ce matin
Le surgelé sera bon pour la soirée avec Ana
Qui pense que tu l'aimes, ouais
Bien sûr que tu l'aimes
Mais elle s'étale dans ton lit comme une trainée
Ensuite bien sûr (évidemment)
C'est toi la parano
Il n'appelle jamais Monica, t'es bête ?

Vous êtes toutes (tous) pareils (ouais)
Toujours à me prendre la tête
(Simples comme des Néandertaliens)
Faits du même moule
Toujours à me dire : "Sors-moi !"
(Et lui, toute la journée sur le canapé)

Vous êtes toutes (tous) pareils (ouais)
Toujours à me prendre la tête
(Simples comme des Néandertaliens)
Faits l'un pour l'autre, partageant le paradis
Elles ne pensent qu'au mariage
(Et eux à la façon d'échapper à l'engagement)

Le petit prince qu'il était autrefois
Est aujourd'hui la bête du présent
Plus proche de Torrente que de Banderas
Canapé, bière et bedaine, il ne reste
Plus grand-chose de ce que tu me vendais, tigresse,
Depuis ce "...bébé, je te jure que je suis différent..."
Le plus dur du coin, le grand courageux
Version minable de Tony Montana
Trouve-toi un psy d'urgence, ou viens,
On ira tuer des araignées dans des cabanes à la montagne
Si ça te fait te sentir plus homme,
Il attrape la tartine en se grattant l'aisselle
Il baise tout ce qui bouge
Le plus important, c'est son engin, il va avec
Tout l'huile du bacon qui coule
De sa bouche, et laisse le salon sens dessus dessous
Le mec se la joue : "Meuf, je vais te faire vibrer Charlotte",
Avec son accent d'idiot
Pour se lier d'amitié et draguer, pas pour dialoguer
Il déteste la maison, préfère le bar ou le bateau avec coffre
Rempli de gonzesses au sirop à tremper
Dans le Moët & Chandon, gros lard,
Où sont passés tes muscles ?
Et celui dont tu te vantes a l'air presque ridicule aujourd'hui
Et ton cul ? N'en parlons pas,
Plus poilu que les boucles de Rappel, mais en brun
Ouais, désolé de te le dire, mon pote,
Te voir sans vêtements, c'est plus qu'un spectacle, un choc,
Pour les sens,
Macho ibérique espagnol, c'est son nom de famille
Ouais, et toi, pétasse ? Eh ben, il te soutient
T'as pas un jacuzzi
C'est un marigot à bulles

Elles ne tiennent pas en place
Que celui qui les comprend lève la main
Parce que moi pas
Elles parlent toujours par allusions
Elles abusent du "Comme c'est mignon !"
Elles monopolisent tout
Comme les étagères de la salle de bain, et
À quoi bon avoir un petit ami quand on peut avoir un esclave, certaines
Diront que c'est faux, qu'elle est un soleil
Alors qu'en réalité, elle pète un câble si elle n'a pas le contrôle
Et elle est fière de pouvoir faire deux choses à la fois
Mais la belle en gâche une à faire semblant d'être mature
Elles ont du mal à répondre autrement que par une autre question
Il y a plein de naïves qui croient encore que l'amour dure
Et il n'y en a qu'une qui dure et qui est longue, et je sais que tu veux la connaître
C'est vrai, plus elle est coincée dans la vie, plus elle est salope au lit
Ne t'énerve pas, s'il te plaît
Il n'y a qu'une experte ici
En matière de coups bas et de rancœur, et tu le sais au fond de toi, car
Plus le temps passe, moins le prince charmant arrive
Parce que le plus cool quand tu l'as connu est devenu un abruti
Dans ton coffre à souvenirs, je ne suis pas un porc
Je suis naturel, c'est pour ça que je me vautre à l'horizontale
Tes murmures dans mon cou me donnent la chair de poule
Font grandir ma cathédrale et au final, je m'ennuie toujours
Leur romantisme me rend parfois gêné, mec
Parce que c'est une chose d'être sensible, c'en est une autre d'être une mauviette
Leur colère est tellement prévisible, et c'est si facile de les convaincre
Quelle patience il faut à ce voyou pour comprendre les femmes !

Vous êtes toutes (tous) pareils (ouais)
Toujours à me prendre la tête
(Simples comme des Néandertaliens)
Faits du même moule
Toujours à me dire : "Sors-moi !"
(Et lui, toute la journée sur le canapé)

Vous êtes toutes (tous) pareils (ouais)
Toujours à me prendre la tête
(Simples comme des Néandertaliens)
Faits l'un pour l'autre, partageant le paradis
Elles ne pensent qu'au mariage
(Et eux à la façon d'échapper à l'engagement)