ZPU - 5 Razones - перевод текста песни на французский

Текст и перевод песни ZPU - 5 Razones




5 Razones
5 Raisons
Dinero, por el baila el globo y el perro,
L'argent, pour lui, le monde entier danse, même les chiens,
Y el amigo se echará a un lado y volverá por donde vino,
Et l'ami s'écarte et retourne d'où il vient,
El único camino de vuelta no será mi camerino, será
Le seul chemin de retour ne sera pas ma loge, ce sera
El beso del padrino, un asesino a oscuras que vendrá a mi entierro
Le baiser de la mort, un assassin dans l'ombre qui viendra à mon enterrement
Y me encierro, el dinero es dios, lo veo en sus ojos,
Et je m'enferme, l'argent est dieu, je le vois dans leurs yeux,
El brillo, la traición, el paulatino gesto de atención que buscan,
L'éclat, la trahison, le geste d'attention progressif qu'ils recherchent,
La brusca reacción del que se ofusca,
La réaction brutale de celui qui s'offusque,
Cuando el alma es de color papel la piel también se quema y se chamusca,
Quand l'âme est de la couleur du papier, la peau brûle et se salit,
Su destierro, el error es cuando al interior lo mueven el hierro y el bronze
Leur exil, l'erreur c'est quand l'intérieur est par le fer et le bronze
Entonces ya no hay quien lo reconduzca,
Alors plus personne ne peut les raisonner,
Surca el mundo donde el oro es negro y todo tiene un precio
Ils parcourent le monde l'or est noir et tout a un prix
Alli donde veo que amor y el amor al dinero se bifurcan
je vois que l'amour et l'amour de l'argent bifurquent
Dame TIEMPO, lo quieren para hacer nada,
Donne-moi du TEMPS, ils le veulent pour ne rien faire,
Lo usan, se escusan tras él,
Ils l'utilisent, s'en excusent,
Papá se escuda si llega tarde del burdel,
Papa se cache derrière s'il rentre tard du bordel,
El tiempo, descubre la verdad, lo pone todo en su lugar,
Le temps, révèle la vérité, met tout à sa place,
El tiempo es el único elemento que nos puede curar,
Le temps est le seul élément qui puisse nous guérir,
Mirad, es oro, es relativo, es esquivo, el ser vivo lo envidia,
Regarde, c'est de l'or, c'est relatif, c'est insaisissable, l'être vivant l'envie,
Lo aceptamos, lidiamos, si lo malgastamos nos fastidia,
On l'accepte, on gère, si on le gaspille il nous dégoûte,
Es el espacio entre recuerdos, es la cordura que nos ata,
C'est l'espace entre les souvenirs, c'est la raison qui nous retient,
Es lo que siempre quisimos matar, y es el tiempo que nos mata,
C'est ce qu'on a toujours voulu tuer, et c'est le temps qui nous tue,
El AMOR, el unico digno es el propio
L'AMOUR, le seul digne est le sien propre
Y hay que hacer acopio de él,
Et il faut en faire provision,
Y reservarlo, no enseñarlo, es necesario
Et le réserver, ne pas le montrer, c'est nécessaire
La primera es hostil, un ápice de ser ruín
La première fois est hostile, un soupçon d'être cruel
La magia es la ignorancia de no saber que va a tener fin,
La magie est l'ignorance de ne pas savoir que ça va finir,
Amar es saltar de un trampolín desconociendo que hay debajo,
Aimer c'est sauter d'un plongeoir sans savoir ce qu'il y a en dessous,
El amor es la amistad sin trabajo, un pedazo de cielo en abrazo,
L'amour c'est l'amitié sans effort, un bout de ciel dans une étreinte,
Un flechazo, un coñazo, un plazo de tiempo y espacio,
Un coup de foudre, un coup de folie, un laps de temps et d'espace,
Donde al final el rechazo, te va a doler como un balazo.
finalement le rejet, te fera mal comme un coup de poing.
Lo que cuesta, dicen creer en tu FAMILIA es una apuesta segura,
Ce que ça coûte, ils disent que croire en sa FAMILLE est une valeur sûre,
Lo único seguro es que no hay una apuesta sin duda,
La seule chose sûre est qu'il n'y a pas de pari sans doute,
Que la figura de papá se desfigura,
Que la figure de papa se défigure,
Cuando a mamá su cara desfigura,
Quand maman, son visage se décompose,
Que las demencias tiran el amor a la basura,
Que les démences jettent l'amour à la poubelle,
Que no hay mas pura lealtad que un hermano que escuda,
Qu'il n'y a pas de loyauté plus pure qu'un frère qui protège,
Los golpes de una mano vacía, a la vez que desnuda,
Les coups d'une main vide, à la fois nue,
Como el alma que los inflinge,
Comme l'âme qui les inflige,
El llanto quiere escapar y se acumula en la laringe,
Les pleurs veulent s'échapper et s'accumulent dans la gorge,
Y uno se debe hacer adulto a los quince,
Et on doit devenir adulte à quinze ans,
La SALUD, es la mentira que te llevarás al ataúd,
La SANTÉ, c'est le mensonge que tu emporteras dans la tombe,
La esclavitud de tus impulsos para evitar la decrepitud,
L'esclavage de tes pulsions pour éviter la décrépitude,
¿Y tu? sueña en la eterna juventud como si la parca no existiera
Et toi ? Tu rêves de la jeunesse éternelle comme si la mort n'existait pas
Pero es la única exactitud certera, de la vida entera, altera,
Mais c'est la seule exactitude certaine, de la vie entière, elle altère,
Gente con la actitud de que es la longitud lo que impera,
Des gens avec l'attitude que c'est la longévité qui prime,
Y no cuentan con hacer algo que les llene,
Et ils ne comptent pas faire quelque chose qui les remplisse,
Y no solo llenar la nevera,
Et pas seulement remplir le frigo,
Salud es la virtud del que no morir espera,
La santé est la vertu de celui qui n'attend pas la mort,
Y para mi dios no lo quiera,
Et pour moi, Dieu me garde,
Entera, la vida es tan corta, y absurda y absorta,
Entière, la vie est si courte, et absurde et absorbante,
Y dolorda, y desborda a mi persona, ¿y que mas verá entonces?
Et douloureuse, et submerge ma personne, et que verra-t-elle alors ?
Si solo hay fatiga en seguir sueños que quizás no consiga,
S'il n'y a que de la fatigue à poursuivre des rêves que je ne réaliserai peut-être jamais,
Y me siento una hormiga si miro hacia arriba, esa es mi garantía,
Et je me sens comme une fourmi si je regarde en haut, c'est ma garantie,
De que al fin un día moría, y escapaba con el tiempo,
Qu'enfin un jour je mourrais, et que je m'échapperais avec le temps,
Y si lo pienso quizá vuelva en un recuerdo,
Et si j'y pense, peut-être que je reviendrai dans un souvenir,
Y dime, ¿es triste? se que estar vivo es relativo con tener o no que irse,
Et dis-moi, est-ce triste ? Je sais qu'être vivant est relatif au fait de devoir partir ou non,
Pues solo si alguien piensa en uno, uno existe.
Car ce n'est que si quelqu'un pense à nous, qu'on existe.





Авторы: Moises Sanchez, Juan Francisco Prieto Sanchez, Oriol Prieto Sanchez


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