Текст и перевод песни Zamorales - Quiero

Quiero

Hoy (hoy) di una visita al baúl de mis recuerdos
Aquel que está en el armario de mi casa
Curiosamente la puerta estaba entre abierta
Y mi conciencia me pedía que no entrara
Poco a poco, recordaba aquel momento
Donde en tu cara te dije que no volveré
Llorando noches esperando tu regreso
Hasta ese día tu recuerdo lo guardé
Encontré la botella que destapé para olvidar aquel dolor
Palabras tristes recordaba porque la amnesia de mi mente la borró
Encontré la cobija, la que arrastré y ensucié yo por tu amor
Abeja reina te sentías y te creías dueña de mi corazón
Fui buscando y encontré unas rosas blancas
De aquel reloj que todavía marca las seis
Una cartita donde decía que lo esperabas
Con dirección de un tal apartamento tres
Encontré la botella que destapé para olvidar aquel dolor
Palabras tristes recordaba porque la amnesia de mi mente la borró
Encontré la cobija, la que arrastré y ensucié yo por tu amor
Abeja reina te sentías y te creías dueña de mi corazón

Je veux

Aujourd'hui (aujourd'hui) j'ai fait une visite au coffre de mes souvenirs
Celui qui est dans le placard de ma maison
Bizarrement, la porte était entrouverte
Et ma conscience me disait de ne pas entrer
Petit à petit, je me souvenais de ce moment
Où sur ton visage je t'ai dit que je ne reviendrais pas
Pleurant des nuits entières en attendant ton retour
Jusqu'à ce jour, j'ai gardé ton souvenir
J'ai trouvé la bouteille que j'ai débouchée pour oublier cette douleur
Je me souvenais de mots tristes parce que l'amnésie de mon esprit les avait effacés
J'ai trouvé la couverture, celle que j'ai traînée et salie par amour pour toi
Tu te sentais reine des abeilles et tu croyais être la maîtresse de mon cœur
J'ai cherché et j'ai trouvé des roses blanches
De cette horloge qui marque encore six heures
Une petite lettre où il était écrit que tu l'attendais
Avec l'adresse d'un certain appartement trois
J'ai trouvé la bouteille que j'ai débouchée pour oublier cette douleur
Je me souvenais de mots tristes parce que l'amnésie de mon esprit les avait effacés
J'ai trouvé la couverture, celle que j'ai traînée et salie par amour pour toi
Tu te sentais reine des abeilles et tu croyais être la maîtresse de mon cœur