Текст и перевод песни Zeri - No Tengo El Derecho

No Tengo El Derecho

Verdes son las ventanas de tu mirada
Que por lo pronto están cerradas
Y pertenecen a alguien más

Sombras que han quedado de los recuerdos
De un amor que le conté a mi espejo
Que jamás logró hacerse realidad

Y ahora a donde van tus sueños
Cambiaron tus ideas
Me robaron lo que tanto ame de ti

Y así me quedé solo contando los pedazos
De las ilusiones mientras tu estas en otros brazos
Y si te veo triste tendré que aguantarme
No tengo el derecho para poder consolarte

Negras son las tardes de mi verano
Ver que vas con alguien de la mano
Y yo muriendo por estar en su lugar

Y ahora a donde van tus sueños
Cambiaron tus ideas
Me robaron lo que tanto ame de ti

Y así me quedé solo contando los pedazos
De las ilusiones mientras tu estas en otros brazos
Y si te veo triste tendré que aguantarme
No tengo el derecho para poder consolarte

Y así me quedé solo contando los pedazos
De las ilusiones mientras tu estas en otros brazos
Y si te veo triste tendré que aguantarme
No tengo el derecho para poder consolarte

Je n'ai pas le droit

Tes yeux sont comme des fenêtres vertes
Qui sont fermées pour l'instant
Et appartiennent à quelqu'un d'autre

Des ombres qui restent des souvenirs
D'un amour que j'ai confié à mon miroir
Qui n'a jamais pu devenir réalité

Et maintenant, où vont tes rêves ?
Tes idées ont changé
On m'a volé ce que j'aimais tant en toi

Et je suis resté là, seul, à compter les morceaux
De nos illusions, tandis que tu es dans les bras d'un autre
Et si je te vois triste, je devrai me retenir
Je n'ai pas le droit de te consoler

Mes après-midi d'été sont sombres
Te voir marcher main dans la main avec quelqu'un d'autre
Et je meurs d'envie d'être à sa place

Et maintenant, où vont tes rêves ?
Tes idées ont changé
On m'a volé ce que j'aimais tant en toi

Et je suis resté là, seul, à compter les morceaux
De nos illusions, tandis que tu es dans les bras d'un autre
Et si je te vois triste, je devrai me retenir
Je n'ai pas le droit de te consoler

Et je suis resté là, seul, à compter les morceaux
De nos illusions, tandis que tu es dans les bras d'un autre
Et si je te vois triste, je devrai me retenir
Je n'ai pas le droit de te consoler