Текст и перевод песни Zerrin Özer - O Yaz

O Yaz

Ne güzel geçmişti bütün bir yaz
Başımda kavak yelleri esen o yaş
Bense hanımeli kadar beyaz
Çalmıştınız kalbimi bilmeden biraz
Bense hanımeli kadar beyaz
Çalmıştınız kalbimi bilmeden biraz

Nasıl da koşuşurduk bahçelerde
Şarkı söylerdik mehtaplı gecelerde
Sen bana, ben sana komşu evlerde
Kök sarmaşıklar gibi sarıldık o yaz
Sen bana, ben sana komşu evlerde
Kök sarmaşıklar gibi sarıldık o yaz

Eline değerdi safça elim
Seninse arardı beni gözlerin
Öpüşürken korkusu bir şeylerin
Sevgimize ilk hüznü getirdi biraz
Öpüşürken korkusu bir şeylerin
Sevgimize ilk hüznü getirdi biraz

Çocuk kalbimize dolan gamla
Oturup ağlamıştık sessiz çardakta
Çaresiz erken inen akşamla
Veda edip ayrıldık biterken o yaz
Çaresiz erken inen akşamla
Veda edip ayrıldık biterken o yaz

Nasıl da koşuşurduk bahçelerde
Şarkı söylerdik mehtaplı gecelerde
Sen bana, ben sana komşu evlerde
Kök sarmaşıklar gibi sarıldık o yaz
Çaresiz erken inen akşamla
Veda edip ayrıldık biterken o yaz

Sen bana, ben sana komşu evlerde
Kök sarmaşıklar gibi sarıldık o yaz
Çaresiz erken inen akşamla
Veda edip ayrıldık biterken o yaz

Sen bana, ben sana komşu evlerde

Cet été

Comme cet été était beau, tout entier
À cet âge où les vents des peupliers soufflaient sur ma tête
J'étais blanche comme du chèvrefeuille
Tu avais volé mon cœur sans le savoir, un peu
J'étais blanche comme du chèvrefeuille
Tu avais volé mon cœur sans le savoir, un peu

Comme nous courions dans les jardins
Nous chantions dans les nuits au clair de lune
Toi à moi, moi à toi, dans les maisons voisines
Nous nous sommes enlacés comme des lianes, cet été
Toi à moi, moi à toi, dans les maisons voisines
Nous nous sommes enlacés comme des lianes, cet été

Ta main touchait la mienne, naïvement
Tes yeux me cherchaient, toi
En nous embrassant, la peur de quelque chose
A apporté un peu de tristesse à notre amour
En nous embrassant, la peur de quelque chose
A apporté un peu de tristesse à notre amour

La nostalgie s'est installée dans notre cœur d'enfant
Nous nous sommes assis et avons pleuré en silence dans le kiosque
Avec le soir qui tombait trop tôt, sans pouvoir rien faire
Nous avons fait nos adieux et nous sommes séparés, à la fin de cet été
Avec le soir qui tombait trop tôt, sans pouvoir rien faire
Nous avons fait nos adieux et nous sommes séparés, à la fin de cet été

Comme nous courions dans les jardins
Nous chantions dans les nuits au clair de lune
Toi à moi, moi à toi, dans les maisons voisines
Nous nous sommes enlacés comme des lianes, cet été
Avec le soir qui tombait trop tôt, sans pouvoir rien faire
Nous avons fait nos adieux et nous sommes séparés, à la fin de cet été

Toi à moi, moi à toi, dans les maisons voisines
Nous nous sommes enlacés comme des lianes, cet été
Avec le soir qui tombait trop tôt, sans pouvoir rien faire
Nous avons fait nos adieux et nous sommes séparés, à la fin de cet été

Toi à moi, moi à toi, dans les maisons voisines