Текст и перевод песни 王菀之 - 之乎者也 (電影《三人行》主題曲) [國]

之乎者也 (電影《三人行》主題曲) [國]

知之為知之 在乎不在乎
此人何其者 孔老夫子也

知之為不知 在在不在乎
此人何其者 寒山之子也

不知為知之 不在乎在乎
此人何其者 齊人是也

很久以前我們的老師都曾經這麼說
很久以前我們的老師都曾經這麼說
現在看看我們的青年他們在講什麼
最後你要想想到底他們為何這麼做

溫故知新之 處變不驚乎
尊師重道者 莫過如是也

風花雪月之 嘩啦啦啦乎
所謂人生者 是否如是也

很久以前我們的老師都曾經這麼說
很久以前我們的老師都曾經這麼說
現在聽聽我們的青年他們在講什麼
但是你要想想到底你要他們怎麼做

知知知知知 乎乎乎乎乎
者者者者者 也也也也也

很久以前我們的老師都曾經這麼說
很久以前我們的老師都曾經這麼說
現在聽聽我們的青年他們在講什麼
但是你要想想到底你要他們怎麼做

眼睛睜一隻 嘴巴呼一呼
耳朵遮一遮 皆大歡喜也
大家都知之 大家都在乎
袖手旁觀者 你我是也

Ce qui est, c'est ce qui est, qu'on s'en soucie ou non (Thème principal du film "Trois personnes") [Chinois]

Savoir ce qu'on sait, qu'on s'en soucie ou non
Qui est cet homme ? C'est Confucius lui-même !

Savoir ce qu'on ne sait pas, qu'on s'en soucie ou non
Qui est cet homme ? C'est le fils de Han Shan !

Ne pas savoir ce qu'on sait, ne pas s'en soucier
Qui est cet homme ? C'est un homme de Qi !

Il y a longtemps, nos professeurs disaient toujours cela
Il y a longtemps, nos professeurs disaient toujours cela
Maintenant, regarde nos jeunes, ce qu'ils disent
Finalement, tu dois te demander pourquoi ils font ça

Apprendre le passé pour mieux comprendre le présent, ne pas être surpris par le changement
Rien ne vaut le respect des enseignants et la tradition

Les fleurs, la neige, la lune, la beauté du monde, tout est fugace
Est-ce ainsi que la vie est, après tout ?

Il y a longtemps, nos professeurs disaient toujours cela
Il y a longtemps, nos professeurs disaient toujours cela
Maintenant, écoute nos jeunes, ce qu'ils disent
Mais tu dois te demander comment tu veux qu'ils agissent

Savoir, savoir, savoir, savoir, savoir, savoir
Qu'est-ce, qu'est-ce, qu'est-ce, qu'est-ce, qu'est-ce, qu'est-ce

Il y a longtemps, nos professeurs disaient toujours cela
Il y a longtemps, nos professeurs disaient toujours cela
Maintenant, écoute nos jeunes, ce qu'ils disent
Mais tu dois te demander comment tu veux qu'ils agissent

Un œil ouvert, une bouche qui s'ouvre
Couvrez vos oreilles, tout le monde est heureux !
Tout le monde le sait, tout le monde s'en soucie
Les spectateurs passifs, c'est toi et moi !