Текст и перевод песни Алёша - Поруч

Поруч

U tsʹomu sviti staye zhyty vse tyazhche,
Koly shtovkhayutʹ liktyamy z usikh bokiv.
Ti ochi z·haduyutʹ, staye vse krashche.
Toy svit ochey tykh vazhlyvishyy z usikh svitiv.
Znay, ya probʹyusʹ krizʹ zatory y davky.
Nekhay v zhytti nam pid kolesa kydayutʹ lid,
Ale lyubov do tebe serdtsyu ne vkrasty,
Vona proshyta vzhe u mozku moyikh klityn;
Vona proshyta vsya u mozku moyikh klityn.
I nastupaye nich, i nache dobre vse...
A yak krychytʹ dusha, nikhto krim tebe ne chuye.
I cherez sotni mist, chy vidchuvayesh ty,
Shcho ya ye poruch; shcho tse ya tvoyi sny malyuyu?
YA zavzhdy poruch, tse ya tvoyi sny malyuyu.
I z kozhnym rokom bude vazhche kazaty
Vidverto tak pro lyubov doroslu vzhe.
Teper, ya rozumiyu mamu y tata;
Dlya nykh, yak bula malenʹkoyu i dosi ye.
I znov na poyizd, u litak i mashynu.
Skorishe b vzhe perestupyty porih v sviy dim.
I tsʹomaty svoyu malenʹku dytynu,
I potonuty v tom sviti bez lyudey i mashyn;
Bez lyudey i mashyn.
I nastupaye nich, i nache dobre vse...
A yak krychytʹ dusha, nikhto krim tebe ne chuye.
I cherez sotni mist, chy vidchuvayesh ty,
Shcho ya ye poruch; shcho tse ya tvoyi sny malyuyu?
YA zavzhdy poruch, tse ya tvoyi sny malyuyu.
A vse mynaye, chasu ne zupynyty.
I marni sproby ti vkhopyty yoho za khvist.
Strimko letyatʹ, nenache lastivky lita.
Ta holovne, khay ti lita mayutʹ dobryy zmist.
Moye malenʹke, nayridnishe zernyatko
Chekaye mamu z tatom, znovu niyak ne spytʹ.
I ya use hotova zaraz viddaty,
Shchob buty poruch, i dyvytysʹ v ochi
Nemov v blakytʹ; nemov v blakytʹ.
I nastupaye nich, i nache dobre vse...
A yak krychytʹ dusha, nikhto krim tebe ne chuye.
I cherez sotni mist, chy vidchuvayesh ty,
Shcho ya ye poruch; shcho tse ya tvoyi sny malyuyu?
YA zavzhdy poruch, tse ya tvoyi sny malyuyu.

Près de toi

Dans ce monde, la vie devient de plus en plus difficile,
Quand on te pousse des coudes de tous côtés.
Tes yeux se souviennent, tout devient meilleur.
Ce monde de tes yeux est le plus important de tous les mondes.
Sache que je lutterai à travers les embouteillages et les foules.
Laisse-les jeter de la glace sur nos routes dans la vie,
Mais l'amour pour toi ne pourra jamais être volé à mon cœur,
Il est déjà cousu dans les cellules de mon cerveau ;
Il est déjà cousu dans les cellules de mon cerveau.
Et la nuit arrive, et tout semble bien...
Mais quand mon âme crie, personne d'autre que toi ne l'entend.
Et à travers des centaines de ponts, est-ce que tu sens,
Que je suis près de toi; que c'est moi qui peins tes rêves ?
Je suis toujours près de toi, c'est moi qui peins tes rêves.
Et chaque année, il sera plus difficile de dire
Honnêtement ainsi sur l'amour, maintenant adulte.
Maintenant, je comprends maman et papa ;
Pour eux, j'étais petite et je le suis toujours.
Et de nouveau dans le train, dans l'avion et en voiture.
J'aimerais tellement franchir le seuil de ma maison.
Et embrasser ma petite fille,
Et me noyer dans ce monde sans gens et sans machines ;
Sans gens et sans machines.
Et la nuit arrive, et tout semble bien...
Mais quand mon âme crie, personne d'autre que toi ne l'entend.
Et à travers des centaines de ponts, est-ce que tu sens,
Que je suis près de toi; que c'est moi qui peins tes rêves ?
Je suis toujours près de toi, c'est moi qui peins tes rêves.
Et tout passe, on ne peut pas arrêter le temps.
Et ce sont des tentatives vaines de le saisir par la queue.
Ils volent vite, comme des hirondelles d'été.
Mais l'important est que ces étés aient un bon sens.
Mon petit, précieux miroir
Attend maman et papa, il ne peut pas dormir à nouveau.
Et je suis prête à tout donner maintenant,
Pour être là, et regarder dans tes yeux
Comme dans le bleu ; comme dans le bleu.
Et la nuit arrive, et tout semble bien...
Mais quand mon âme crie, personne d'autre que toi ne l'entend.
Et à travers des centaines de ponts, est-ce que tu sens,
Que je suis près de toi; que c'est moi qui peins tes rêves ?
Je suis toujours près de toi, c'est moi qui peins tes rêves.