Текст и перевод песни Ангел-хранитель feat. Эпидемия - Художник (Live)

Художник (Live)

В театре жил один художник,
Любви истории писал.
И в сердце смешивая краски,
Из них шедевры получал.
Он верил нет шагов случайных,
Что жизнь даётся для любви.
И в голубых глазах однажды,
Он свои кисти утопил…
Он позабыл свои картины,
Бесценный взгляд околдовал.
И день за днём проходят мимо,
Он многое не замечал.
Но был недолгим путь их к счастью,
С небес так больно в низ упал.
Навечно тот запомнив вечер,
Когда раскрылся весь обман…
Красным цветом словно кровь, Нарисован силуэт.
Тех минут простой закат
И последний мой рассвет.
Мне не страшно уходить,
Я ведь пламенем горел.
От одной простой искры,
Ты смогла меня согреть.
Я был неправ я это знаю,
Обида цепью давит грудь.
Мгновенья в памяти остались,
Но знаю я короткий путь.
Придумал сам себе я сказку,
Историю нарисовал.
Мои старания напрасны,
Зачем тебя я повстречал…
Мы все рисунки, лишь полотна
Нас отличают от других.
Но грязью рисовать удобней,
В моих руках последний лист!
Остался шаг, он трудный самый,
Но должен я его пройти.
И жизнь мелькает словно кадры,
И только крик… Остановись!!!
Красным цветом, словно, кровь, Нарисован силуэт.
На земле лежал один,
Художник, словно, тень.
Мне не страшно уходить,
Я ведь пламенем горел.
От одной простой искры,
Ты смогла меня согреть.
Красным цветом словно кровь, Нарисован силуэт.
Тех минут простой закат
И последний мой рассвет.
Мне не страшно уходить,
Я ведь пламенем горел.
От одной простой искры,
Ты смогла меня согреть,
Ты смогла меня согреть!

Le Peintre (Live)

Dans un théâtre vivait un peintre,
Il écrivait des histoires d'amour.
Et en mélangeant les couleurs dans son cœur,
Il en tirait des chefs-d'œuvre.
Il croyait qu'il n'y avait pas de pas aléatoires,
Que la vie est donnée pour l'amour.
Et dans des yeux bleus un jour,
Il a noyé ses pinceaux...
Il a oublié ses tableaux,
Un regard précieux l'a envoûté.
Et les jours passent, les uns après les autres,
Il n'a pas remarqué grand-chose.
Mais leur chemin vers le bonheur fut bref,
De si haut dans les cieux, il est tombé si douloureusement.
Se souvenant éternellement de ce soir-là,
Quand toute la tromperie a été révélée...
En rouge comme du sang, une silhouette est dessinée.
Le simple coucher de soleil de ces minutes
Et mon dernier lever de soleil.
Je n'ai pas peur de partir,
J'ai brûlé comme une flamme.
D'une simple étincelle,
Tu as pu me réchauffer.
J'avais tort, je le sais,
La rancœur pèse sur ma poitrine.
Des moments sont restés dans ma mémoire,
Mais je connais un chemin court.
J'ai inventé mon propre conte de fées,
J'ai peint une histoire.
Mes efforts sont vains,
Pourquoi t'ai-je rencontré...
Nous sommes tous des peintures, juste des toiles
Ce qui nous distingue des autres.
Mais c'est plus facile de peindre avec de la boue,
Dans mes mains, la dernière feuille !
Il reste un pas, le plus difficile,
Mais je dois le franchir.
Et la vie défile comme des images,
Et seulement un cri... Arrête-toi !!!
En rouge comme du sang, une silhouette est dessinée.
Un homme était allongé sur le sol,
Le peintre, comme une ombre.
Je n'ai pas peur de partir,
J'ai brûlé comme une flamme.
D'une simple étincelle,
Tu as pu me réchauffer.
En rouge comme du sang, une silhouette est dessinée.
Le simple coucher de soleil de ces minutes
Et mon dernier lever de soleil.
Je n'ai pas peur de partir,
J'ai brûlé comme une flamme.
D'une simple étincelle,
Tu as pu me réchauffer,
Tu as pu me réchauffer !