Текст и перевод песни Интонация - Осень

Осень

Я не рыдаю, я не спокоен!
Прошу, глаза мне закрой рукою. Вас двое.
Воспоминания печаль укроют, порой
Изнемогаю, и тихо кроет. С тобой
Твои герои цвета иной крови -
Как паранойя, но я спокоен. (Да, что с того…)
Да, я не спорю, ломать - не строить.
Прошу, глаза мне закрой рукою.
Вот она, - моя стелла памяти. Подождите!
Вы же стремились так познать ту обитель.
Так вот вам! Забирайте без остатка все, что надо
Только оставьте то тепло, что я дарил когда - то.
Оставьте веру! Моя вера сильнее ветра,
Что разрывает в клочья порывы зверского гнева.
Оставьте время на заполнение пробелов.
Сотрите файлы картин, что рисовал акварелью.
Улыбку, глаза ее, губы!
Я не хочу болеть этим, я не хочу сбивать руки,
Не хочу быть плюшевым, я хочу остаться!
Пускай марионеткой, пускай можно сорваться...
Но, так попроще. Как раз то, что мне нужно.
Просто уйти в себя, просто быть психом.
Может так лучше? Не знаю...
Но, снова вспоминаю прошлое.
Обидно, что в нем нет хорошего.
Осень развенчала. Одинокие причалы
Помнят радость глаз твоих.
Осень, разлучая, счастья дневники листала.
Осень на двоих.
Эту историю писали двое и вздорили.
Такой финал, - какой ценой? А стоит ли
Винить небо, звонить в «Скорую»? Постой!
Пустой слезой ты не омоешь боль мою.
Расправив крылья, я стану былью (спорим…),
Пустой строкой в твоей истории новой,
Слепой тоской и правдой голой,
Прошу, глаза мне закрой рукою. (Прошу тебя…)
Осень развенчала. Одинокие причалы
Помнят радость глаз твоих.
Осень, разлучая, счастья дневники листала.
Осень на двоих.
Осень развенчала. Одинокие причалы
Помнят радость глаз твоих.
(А знаешь, все еще помнят радость глаз твоих…)
Осень, разлучая, счастья дневники листала.
Осень на двоих.

Automne

Je ne pleure pas, je ne suis pas calme !
S'il te plaît, couvre mes yeux de ta main. Vous êtes deux.
Les souvenirs cacheront la tristesse, parfois
Je suis épuisé, et elle me couvre doucement. Avec toi
Tes héros sont d'une autre couleur de sang -
Comme la paranoïa, mais je suis calme. (Oui, et alors…)
Oui, je ne conteste pas, détruire n'est pas construire.
S'il te plaît, couvre mes yeux de ta main.
La voilà, - ma stèle de souvenirs. Attendez !
Vous avez tant désiré connaître cette demeure.
Alors voilà ! Prenez tout ce qu'il faut sans rien laisser
Mais laissez la chaleur que j'ai donnée autrefois.
Laissez la foi ! Ma foi est plus forte que le vent,
Qui déchire en lambeaux les rafales de colère bestiale.
Laissez le temps pour combler les lacunes.
Efface les fichiers des images que j'ai dessinées à l'aquarelle.
Son sourire, ses yeux, ses lèvres !
Je ne veux pas être malade de ça, je ne veux pas me briser les mains,
Je ne veux pas être en peluche, je veux rester !
Même si je suis une marionnette, même si je peux me casser…
Mais, c'est plus simple. C'est exactement ce dont j'ai besoin.
Juste me retirer en moi-même, juste être fou.
Peut-être est-ce mieux comme ça ? Je ne sais pas…
Mais, je me souviens encore du passé.
C'est dommage qu'il n'y ait rien de bon dedans.
L'automne a démystifié. Les quais solitaires
Se souviennent de la joie de tes yeux.
L'automne, en nous séparant, feuilletait les journaux intimes du bonheur.
L'automne pour nous deux.
Cette histoire a été écrite par deux personnes et nous nous sommes disputés.
Une fin comme celle-là, - à quel prix ? Et vaut-il la peine
De blâmer le ciel, d'appeler les secours ? Attends !
Tu ne peux pas laver ma douleur avec une larme vide.
En déployant mes ailes, je deviendrai un conte (parions…),
Une ligne vide dans ta nouvelle histoire,
Un désir aveugle et une vérité nue,
S'il te plaît, couvre mes yeux de ta main. (Je te prie…)
L'automne a démystifié. Les quais solitaires
Se souviennent de la joie de tes yeux.
L'automne, en nous séparant, feuilletait les journaux intimes du bonheur.
L'automne pour nous deux.
L'automne a démystifié. Les quais solitaires
Se souviennent de la joie de tes yeux.
(Tu sais, ils se souviennent encore de la joie de tes yeux…)
L'automne, en nous séparant, feuilletait les journaux intimes du bonheur.
L'automne pour nous deux.