Текст и перевод песни 莫文蔚 - 台

台

來 這是祝英台 拍賣的燭台 你看第幾台
來 時間的擂台 你為誰站台 變成打對台

誰搞丟了愛 請到服務台 明明都還在 紛紛已轉台
寂寞生青苔 誰跳上吧台 自己HIGH起來

(Life's but a stage we have our exits and entrances
We strut and fret our hour full of sound and fury)

來 一台接一台 人生大舞台 好戲陸續來
來 一台蓋一台 誰存活下來 爭著上台 捨不得下台

來 南京雨花台 杰倫菊花台 你看哪一台
來 時間的擂台 你為誰站台 變成打對台

誰搞丟了愛 請到服務台 明明都還在 紛紛已轉台
寂寞生青苔 誰跳上吧台 自己HIGH起來

(Life's but a stage we have our exits and entrances
We strut and fret our hour full of sound and fury)

來 一台接一台 人生的月台 往哪個未來
來 管它台不台 花車開過來 爭著上台 捨不得下台

All the world is a stage
Creeps in this petty pace from day to day
To the last syllable of recorded time
And all our yesterdays have lighted fools
The way to dusty death. Out out, brief candle
Life's but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage
And then is heard no more: it is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury
Signifying nothing
Full of wise saws and modern instances
And so he plays his part
And one man in his time plays many parts
They have their exits and their entrances
And all the men and women merely players
A world too wide
And mere oblivion
Sans teeth, sans eyes, sans taste, sans everything

誰撿到了愛 請到服務台 明明都還在 紛紛已轉台
寂寞生青苔 誰跳上吧台 自己HIGH起來

To-morrow, to-morrow, and to-morrow
Jealous in honour, sudden and quick in quarrel,
Last scene of all,
That ends this strange eventful history

來 一台接一台 人生大舞台 好戲陸續來
來 一台蓋一台 誰存活下來 爭著上台 捨不得下台

來 一台接一台 人生購物台 哪裡買到愛
來 管它台不台 花車開過來 爭著上台 捨不得下台

La scène

Viens, c'est la chandelle aux enchères de Zhu Yingtai, tu vois quelle est la numéro ?
Viens, l'arène du temps, pour qui tu vas tenir la scène, tu deviens l'opposant ?

Qui a perdu l'amour, s'il te plaît viens au comptoir, pourtant il est toujours là, tous ont changé de chaîne.
La solitude donne de la mousse, qui va sauter sur le comptoir, se déchaîne.

(La vie n'est qu'une scène, nous avons nos entrées et nos sorties.
Nous nous pavonons et nous nous agitons pendant une heure pleine de bruit et de fureur).

Viens, une après l'autre, la grande scène de la vie, de bonnes pièces arrivent continuellement.
Viens, une sur l'autre, qui va survivre, se disputant pour monter sur scène, ne veut pas descendre.

Viens, le plateau de Yuhuatai de Nankin, le plateau de Chrysanthème de Jay, tu vois lequel ?
Viens, l'arène du temps, pour qui tu vas tenir la scène, tu deviens l'opposant ?

Qui a perdu l'amour, s'il te plaît viens au comptoir, pourtant il est toujours là, tous ont changé de chaîne.
La solitude donne de la mousse, qui va sauter sur le comptoir, se déchaîne.

(La vie n'est qu'une scène, nous avons nos entrées et nos sorties.
Nous nous pavonons et nous nous agitons pendant une heure pleine de bruit et de fureur).

Viens, une après l'autre, le quai de la vie, vers quel avenir ?
Viens, peu importe que ce soit une scène ou pas, le char arrive, se disputant pour monter sur scène, ne veut pas descendre.

Le monde entier est une scène.
Se glisse à ce pas mesquin de jour en jour.
Jusqu'à la dernière syllabe du temps enregistré.
Et tous nos hiers ont éclairé les fous.
Le chemin vers la mort poussiéreuse. Éteignez, éteignez, courte bougie.
La vie n'est qu'une ombre qui marche, un pauvre joueur.
Qui se pavane et s'agite pendant une heure sur la scène.
Et puis n'est plus entendu : c'est un conte.
Raconte par un idiot, plein de bruit et de fureur.
Signifiant rien.
Plein de proverbes sages et d'exemples modernes.
Et ainsi il joue son rôle.
Et un homme en son temps joue de nombreux rôles.
Ils ont leurs sorties et leurs entrées.
Et tous les hommes et les femmes sont de simples acteurs.
Un monde trop vaste.
Et le pur oubli.
Sans dents, sans yeux, sans goût, sans rien.

Qui a trouvé l'amour, s'il te plaît viens au comptoir, pourtant il est toujours là, tous ont changé de chaîne.
La solitude donne de la mousse, qui va sauter sur le comptoir, se déchaîne.

Demain, demain, et demain.
Jaloux dans l'honneur, soudain et prompt dans la querelle.
La dernière scène de toutes.
Qui termine cette étrange histoire mouvementée.

Viens, une après l'autre, la grande scène de la vie, de bonnes pièces arrivent continuellement.
Viens, une sur l'autre, qui va survivre, se disputant pour monter sur scène, ne veut pas descendre.

Viens, une après l'autre, la scène des achats de la vie, où acheter l'amour ?
Viens, peu importe que ce soit une scène ou pas, le char arrive, se disputant pour monter sur scène, ne veut pas descendre.