Текст и перевод песни 許慧欣 - 威尼斯迷路

威尼斯迷路

埋葬那些不愉快的过去
未来飘著cappuccino香气 我离开了你
丢掉你送给我的旧毛衣 没有行李
我一个人旅行

飞过层层的白云
到陌生的国度里
也许就可以把你忘记

让我在威尼斯迷路 独自狂欢庆祝
用孤单的舞步 编织成华丽的演出
就把自己放逐 在直觉的地图
也不必去在乎 谁会是幸福归属

听著圣马可广场的钟响
漫步在那黄金色的阶梯 我伪装自己
面具也无法遮盖的忧伤 无处躲藏
随著裙摆飘荡

嘉年华歌舞升平
前世今生的欢愉
谁在乎是现实或梦境

让我在威尼斯迷路 独自狂欢庆祝
用孤单的舞步 编织成华丽的演出
就把自己放逐 在直觉的地图
也不必去在乎 谁会是幸福归属（嘿耶）

Ciao! Santa Lucia
孤挺花飘香 泪湿的脸庞
从今以后 我不再贪图
摇摆的幸福 悲伤已落幕

在威尼斯迷路 独自狂欢庆祝
用孤单的舞步 编织成华丽的演出
就把自己放逐 在直觉的地图
也不必去在乎 谁会是幸福归属

让我在威尼斯迷路 独自狂欢庆祝
用孤单的舞步 编织成华丽的演出
就把自己放逐 在直觉的地图
也不必去在乎
威尼斯 最美丽的迷路

Perdu à Venise

J'enterre le passé désagréable
L'avenir sent bon le cappuccino, je t'ai quitté
J'ai jeté le vieux pull que tu m'as offert, sans bagages
Je voyage seule

Je traverse des nuages blancs
Vers un pays étranger
Peut-être que je pourrai t'oublier

Laisse-moi me perdre à Venise, fêter seule
Avec mes pas solitaires, tisser un spectacle magnifique
Je me laisserai aller, sur la carte de mon intuition
Et je ne me soucierai pas de savoir qui sera mon bonheur

J'écoute le son des cloches de la place Saint-Marc
Je me promène sur les marches dorées, je me déguise
Le masque ne peut pas cacher ma tristesse, elle n'a nulle part où aller
Avec ma jupe qui flotte

Le carnaval, danse et fête
Le plaisir d'une vie passée et présente
Qui se soucie de la réalité ou du rêve

Laisse-moi me perdre à Venise, fêter seule
Avec mes pas solitaires, tisser un spectacle magnifique
Je me laisserai aller, sur la carte de mon intuition
Et je ne me soucierai pas de savoir qui sera mon bonheur (hey yeah)

Ciao! Santa Lucia
La fleur d'amaryllis parfumée, des larmes sur mon visage
À partir d'aujourd'hui, je ne serai plus avide
Du bonheur qui vacille, la tristesse a pris fin

Perdue à Venise, fêter seule
Avec mes pas solitaires, tisser un spectacle magnifique
Je me laisserai aller, sur la carte de mon intuition
Et je ne me soucierai pas de savoir qui sera mon bonheur

Laisse-moi me perdre à Venise, fêter seule
Avec mes pas solitaires, tisser un spectacle magnifique
Je me laisserai aller, sur la carte de mon intuition
Et je ne me soucierai pas
Venise, la plus belle des errances