Bernard Lavilliers - L'Eté paroles de chanson

paroles de chanson L'Eté - Bernard Lavilliers



Je cherchais quelques rimes quand elle m′est apparue
Cette beauté qui signe "Princesse de la rue"
Élégante, exotique, sortie des "Fleurs du mal"
Des fumées baudelairiennes, un amour marginal
Juste derrière l'épaule un tatouage dit
"Malheur à qui me frôle, je suis comme je suis"
Je suis comme je suis, plaisir à qui me prend
Et dans ce jeu de rôle, je te veux maintenant
L′été, était nu sur la plage
Et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
Un été sans sommeil jusqu'à la déchirure
Le ciel noir et la mer à jamais confondus
Je pourrais dessiner toute ta chevelure
Papillons bleus et noirs de tes mèches tordues
Mais la foudre est tombée, j'en garde la brûlure
Et ce poignard de nacre dans la plaie qui me tue
Tes lèvres entrouvertes et puis cette blessure
l′amour et la mort se mêlent "Soniador"
L′été, était nu sur la plage
Et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
Je suis comme je suis, malheur à qui me prend
Malheur à qui me frôle, attention si je mens
Et l'amour et la mort se mêlent "Soniador"
L′été, était nu sur la plage
Et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
L'été, était nu sur la plage
Et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré



Writer(s): Fernando Alves, Walter Afogados, Walter De Afogados


Bernard Lavilliers - Carnets De Bord
Album Carnets De Bord
date de sortie
25-10-2004




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