Songtexte Peuple des fontaines - Edit single - Francis Cabrel
                                                J′ai 
                                                confié 
                                                ma 
                                                peine 
                                                au 
                                                peuple 
                                                des 
                                                fontaines
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                qu'un 
                                                jour 
                                                tu 
                                                reviennes 
                                                te 
                                                pendre 
                                                    à 
                                                mon 
                                                bras
 
                                    
                                
                                                Dimanche 
                                                et 
                                                semaine 
                                                ne 
                                                sont 
                                                qu′une 
                                                chaîne
 
                                    
                                
                                                De 
                                                ces 
                                                jours 
                                                gris 
                                                qui 
                                                n'en 
                                                finissent 
                                                pas
 
                                    
                                
                                                Des 
                                                rues 
                                                où 
                                                je 
                                                traîne 
                                                toujours, 
                                                toujours
 
                                    
                                
                                                Toujours 
                                                me 
                                                reviennent 
                                                ces 
                                                instants 
                                                trop 
                                                courts
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                Rhône, 
                                                ou 
                                                la 
                                                Seine, 
                                                Rimbaud 
                                                ou 
                                                Verlaine
 
                                    
                                
                                                Rien 
                                                ne 
                                                m'en 
                                                consolera
 
                                    
                                
                                                Princеs 
                                                et 
                                                souveraines, 
                                                simplеs 
                                                comédiennes
 
                                    
                                
                                                Comme 
                                                des 
                                                dizaines 
                                                d′amants 
                                                maladroits
 
                                    
                                
                                                Ont 
                                                gravé 
                                                les 
                                                mêmes 
                                                stupides 
                                                rengaines
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                mêmes 
                                                soupirs 
                                                aux 
                                                mêmes 
                                                endroits
 
                                    
                                
                                                Des 
                                                rues 
                                                où 
                                                je 
                                                traîne 
                                                toujours, 
                                                toujours
 
                                    
                                
                                                Toujours 
                                                me 
                                                reviennent 
                                                ces 
                                                instants 
                                                trop 
                                                courts
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                seules 
                                                qui 
                                                comprennent 
                                                qui 
                                                sachent 
                                                où 
                                                ça 
                                                mène
 
                                    
                                
                                                Fontaines, 
                                                dites-moi
 
                                    
                                
                                                Vous 
                                                qui 
                                                en 
                                                avez 
                                                tant 
                                                écouté
 
                                    
                                
                                                Vous 
                                                qui 
                                                ne 
                                                sauriez 
                                                pas 
                                                mentir
 
                                    
                                
                                                Est-ce 
                                                qu′elles 
                                                savent 
                                                pardonner
 
                                    
                                
                                                Ces 
                                                belles 
                                                pour 
                                                qui 
                                                l'on 
                                                respire
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                avez-vous 
                                                vues 
                                                s′approcher
 
                                    
                                
                                                Penchées 
                                                sur 
                                                vos 
                                                reflets 
                                                saphir
 
                                    
                                
                                                Dire 
                                                qu'on 
                                                peut 
                                                tout 
                                                recommencer
 
                                    
                                
                                                Cherchez 
                                                bien 
                                                dans 
                                                vos 
                                                souvenirs
 
                                    
                                
                                                Cherchez 
                                                bien
 
                                    
                                
                                                J′ai 
                                                confié 
                                                ma 
                                                peine 
                                                au 
                                                peuple 
                                                des 
                                                fontaines
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                qu'un 
                                                jour 
                                                me 
                                                revienne 
                                                le 
                                                bruit 
                                                de 
                                                tes 
                                                pas
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                donnerais 
                                                tout 
                                                Göttingen
 
                                    
                                
                                                Toutes 
                                                les 
                                                Suzanne 
                                                de 
                                                Cohen
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                ce 
                                                jour 
                                                béni 
                                                où 
                                                tu 
                                                me 
                                                reviendras
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                donnerais 
                                                tout 
                                                Göttingen
 
                                    
                                
                                                Toutes 
                                                les 
                                                Suzanne 
                                                de 
                                                Cohen
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                ce 
                                                jour 
                                                béni 
                                                où 
                                                tu 
                                                me 
                                                reviendras
 
                                    
                                 
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                                                        ![Исполнитель Francis Cabrel, альбом Suzanne (Les yeux fermés) [Live]](https://pic.Lyrhub.com/img/u/o/4/h/sevadjh4ou.jpg) 
                                                         
                                                         
                                                         
                                                        