Lyrics and translation Behemoth - In Thy Pandemaeternum

In Thy Pandemaeternum

Father!
Art thou blind and deaf?
Old man!
Decrepit and hideous
Hidden in woods of madness and anxiety
I am the beast, thou - the refugium of love
Whereas your love as a cockroach
Under my own boot
I am the gehenna of humanity, whereas thou art me mercy
And what shalt thou need it for
If the world shall fall asleep under my wings anyway
I am the blood from thy limbs, thou art the wisdom
Is it a great one, yes, vain fools do beliefe in it
They still go up in flames in anyway
Devils tongue is the tongue of fire
Yes, the same that burneth thine houses
Consumeth light and thy sheep... damned!
And even their wool is shaddy, and the meat poisonous
Not for the hungry dogs at my table
I shall destroy everything, or not...
I shalt throw it to vultures to devour, let them feast!
Devils tongue is the tongue of the night
Whenever thou delight in this beauty
Thou pour in thyself the wine of the underworld
And whenever thou crave for bearing it
There are only the whispers of trees thou can hear
Hungry of thy love, I am anticipating my time...
Devils tongue is the tongue of my father
The one, who with universe constituteth an entity
Father who shall not sell thou out for any flirt
Forlove - affairs, kisses of humanity
Therefore give me his darkness
Power, might, hope and fulfillment
Give me his light
It is the time for the feast of hell...

Dans Ton Pandemaeternum

Père !
Es-tu aveugle et sourd ?
Vieil homme !
Décrépit et hideux
Caché dans les bois de folie et d’anxiété
Je suis la bête, toi - le refuge de l’amour
Alors que ton amour est comme un cafard
Sous ma botte
Je suis la géhenne de l’humanité, alors que toi tu es ma miséricorde
Et à quoi en aurais-tu besoin ?
Si le monde s’endort sous mes ailes de toute façon
Je suis le sang de tes membres, toi tu es la sagesse
Est-ce une grande chose, oui, les fous vains y croient
Ils finissent quand même par brûler
La langue du diable est la langue du feu
Oui, la même qui brûle tes maisons
Consomme la lumière et tes brebis… damnées !
Et même leur laine est douteuse, et la viande empoisonnée
Pas pour les chiens affamés à ma table
Je vais tout détruire, ou pas…
Je vais le jeter aux vautours pour qu’ils dévorent, qu’ils se régalent !
La langue du diable est la langue de la nuit
Chaque fois que tu prends plaisir à cette beauté
Tu te verses le vin des enfers
Et chaque fois que tu as envie de le porter
Ce sont seulement les murmures des arbres que tu peux entendre
Affamé de ton amour, j’attends mon heure…
La langue du diable est la langue de mon père
Celui qui, avec l’univers, constitue une entité
Père qui ne te vendra pas pour aucune flirt
Pour les amours - les affaires, les baisers de l’humanité
Alors donne-moi ses ténèbres
Puissance, force, espoir et accomplissement
Donne-moi sa lumière
C’est le temps du festin de l’enfer…