Lyrics Timichine la pou pou - Bourvil
J'ai
connu
l'amour
exotique
En
traversant
le
Sahara,
Là-bas,
là-bas
sous
les
tropiques
I'
fait
bien
chaud,
c'est
pas
comm'
là.
Elle
avait
une
peau
basanée,
C'était
une
noire
une
merveill',
J'avais
aussi
la
peau
bronzée
Car
j'n'avais
pas
d'chapeau
d'soleil.
J'ai
cru
qu'c'était
"ZUMBA"
Ou
alors
"BAMBOULA",
Oui,
mais
elle
ne
s'appelait
pas
comm'
ça.
Timichinélapouhpouh,
C'était
son
nom
de
famille,
Timichinélapouhpouh,
C'était
une
bien
jolie
fille.
C'est
à
l'ombre
d'un
palmier
Qu'nous
connûmes
les
délices,
Mais
nous
fûmes
importunés
Bien
avant
que
ça
finisse,
Car
elle
crut
entendre
soudain
L'simoun
souffler
pas
bien
loin;
"Qu'est-ce
que
c'est"
criai-je
tremblant:
"C'est
rien
dit-elle,
c'est
un
vent."
Timichinélapouhpouh!
Nous
connûmes
l'aventure,
Crois-tu
qu'j'irai
jusqu'au
bout,
Elle
me
dit:
j'en
suis
pas
sûre.
Bientôt
passa
une
caravane,
Nous
devions
prendre
le
retour,
Ell'
me
dit:
"J'ai
mal
aux
tatanes,
Nous
partirons
un
autre
jour."
Ainsi
loin
du
bruit
et
d'la
ville
Nous
restâmes
seuls
dans
l'oasis,
Ell'
me
dit
"T'u
es
mon
idylle,"
Moi,
j'lui
dis:
"Pourvu
que
je
puisse."
Voyant
que
je
suais
trop,
'
Ell'
m'dit:
"ôte
ton
paletot,
Car
ici
nous
sommes
dans
les
pays
chauds"
Timtchinélapouhpouh,
Sous
le
beau
soleil
d'Afrique,
Nous
connûm's
des
instants
doux,
Tout
en
faisant
un
piqu'
nique.
Elle
sentait
le
sable
chaud.
C'était
pas
mon
légionnaire,
Heureus'ment
ce
s'rait
pas
beau
Si
j'aimais
un
légionnaire.
Mais
un
jour
ell'
m'dit:
"je
m'ennuie,
J'veux
r'tourner
à
ma
maison,
Ainsi
partent
les
jeunes
fill's,
Sitôt
qu'ell's
ont
le
bourdon,
Ell'
s'est
perdue,
j'
n'sais
où,
Peut-être
dans
la
forêt
vierge,
A
Saint
Antoine
de
Padoue
Ben!
j'ai
fait
brûler
un
cierge.
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