Lyrics Petite conne - Euphonik
Quand
tu
élances
tes
hanches
larges,
hélas
moi
je
meurs
Toujours
à
ton
avantage,
tu
es
belle
même
quand
tu
pleures
Derrière
ta
robe
coûteuse,
teintée
d'or
et
ivoire
Il
y
a
ta
poitrine
douteuse
que
je
rêve
encore
de
voir
Autour
de
toi
les
hyènes
rôdent,
le
désir
est
charnel
Tes
prunelles
sont
des
émeraudes,
une
ode
à
l'éternel
Ô
princesse
sensuelle,
pour
la
vie
je
m'incline
Ta
beauté
est
cruelle
que
tu
en
es
presque
divine
Dans
le
creux
de
tes
reins
résonne
le
pire
Que
des
claquements
malsains
qui
nous
assommeraient
de
plaisir
Tu
as
mon
âme
au
bout
d'une
fourche,
tu
incarnes
l'étrange
Tu
es
la
perversion,
et
la
pire
version
d'un
ange
À
tes
lèvres
sirupeuses,
je
m'accroche
un
peu
mielleux
Même
si
la
route
est
sinueuse,
on
vieillit
bien
mieux
à
deux
Si
tu
me
tournes
le
dos,
tout
s'effondre
et
disparaît
L'amour
le
plus
beau
est
celui
qu'on
ne
fera
jamais
Les
heures
me
semblent
longue
quand
tu
n'es
plus
là
Regarde
comme
tu
es
laide
quand
tu
es
pleine
de
joie
Je
me
suis
laissé
le
choix
de
t'écrire
ces
mots
Les
plus
sincères
et
les
plus
beaux
que
mais
je
ne
sais
plus
pourquoi
Tu
es
la
flamme
qui
m'a
brulé
le
fleuve
dans
lequel
je
me
noie
Tu
es
l'éphémère
et
le
froid
derrière
la
buée
Je
t'imagine
sur
mon
îlot,
impossible
n'est
pas
Tu
me
prendrais
dans
tes
bras
comme
la
Vénus
de
Milo
Dire
je
t'aime
n'a
aucun
sens
car
dans
le
fond
tout
se
ressent
J'ai
vu
l'amour
dans
un
silence
et
le
silence
devenir
blessant
À
tes
lèvres
sirupeuses,
je
m'accroche
un
peu
mielleux
Même
si
la
route
est
sinueuse,
on
vieillit
bien
mieux
à
deux
Si
tu
me
tourne
le
dos
tout
s'effondre
et
disparaît
L'amour
le
plus
beau
est
celui
qu'on
ne
fera
jamais
Je
m'enfuis
de
l'ordinaire
ici
tout
n'est
éphémère
Mais
tu
n'es
que
le
fantasme,
le
fruit
de
l'imaginaire
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