Karen, Thannsdfghjkl You for the Casserole, But I Need You to Lea-n into a Typo (Marsha 2024 Edit) - Will Wood translation in French

Karen, Thannsdfghjkl You for the Casserole, But I Need You to Lea-n into a Typo (Marsha 2024 Edit)

They could prescribe you any illness you'd like if you define the terms of your ailments
You could sing a pretty malady like a black canary
But a crow don't know the smell of carbon monoxide
How many years have you been on that couch?
They could've quilt'd you in the throes by now
You draw a line in the sand where it ends and you begin
But the tide rolls in, so who knows? Oh, well

And a little identity never hurt nobody
But lately you've been focusing too much on yourself
So how many milligrams of you are still left in there? Whoa

'Cause back in my day we didn't need no feel-good pills and no psychiatrists
No, we just drank ourselves to death
God-damn it, we liked it

Who makes the call?
What's a symptom, what's a flaw, can it be both?
Well, I suppose that's an answer
Would you give up your humanity for just a touch of sanity?
'Cause God knows it's not like it's cancer
And good news to the purists, they've discovered a cure for the symptoms of being alive
It's a painless procedure with a low rate of failure
But very few patients survive

And a little conformity never hurt nobody
But lately I've been worried that you're losing yourself
So how many milligrams of you are still left in there? Whoa

'Cause back in my day we didn't need no feel-good pills and no psychiatrists
No, we just bled out in our baths
God-damn it, we liked it

Doctor, what's my prognosis if the studies show that
Disease is in the eye of the beholder?
Tell me "So it goes"
We depress to impress, I guess, in layer after layer to get off our chests
It's cold out now, we can take it off later
Better safe than sorry, and we both know the danger
So doctor, could you run another test?
Got a feeling that this time I might just pass it
Well, if you raise the average
We'll all sing when the bell curve rings in lyrics symptomatic of the way we think
And our harmonies don't sync, we can change our voices
A chorus on condition of our diagnosis

Back in my day we didn't need no feel-good pills and no psychiatrists
What can I say, except don't heed no evil wills of moral nihilists
I said, "Back in the days of lobotomies and shock therapy and mad scientists
Oh, don't you make me waste my breath
God-damn it"

Ain't your you-dentity at stake?
Does aspirin kill you with the pain?
You're not your thoughts, you're not your brain, you're just the character you've made
Up in your head, down in your heart, what seem like separate body parts
Come together to believe they're you, and not just chemistry
It's not the way that you were raised, or what the advertisements say

Not what you pay for, what you pray for, what you want, or what you say
And I see your tendency to redefine disease by what you need
And I'm afraid I can't prescribe the diagnosis that you seek
And something tells me that you need, forgive me now if I misspeak
But something tells me that you like, and something tells me
You prefer to be sitting there flipping through those old issues of people

Well, that's our time, see you next week

Karen, Merci pour le Casserole, Mais J'ai Besoin que Tu Te Trompes dans une Faute de Frappe (Édition Marsha 2024)

On pourrait te diagnostiquer n'importe quelle maladie si tu définis toi-même les termes de tes maux.
Tu pourrais chanter une jolie mélodie comme un canari noir.
Mais une corneille ne connaît pas l'odeur du monoxyde de carbone.
Depuis combien d'années es-tu sur ce canapé ?
Ils auraient pu te recouvrir d'une courtepointe depuis le temps.
Tu traces une ligne dans le sable là où tu finis et où tu commences.
Mais la marée monte, alors qui sait ? Oh, eh bien.

Et un peu d'identité n'a jamais fait de mal à personne.
Mais dernièrement, tu te concentres un peu trop sur toi-même.
Alors, combien de milligrammes de toi restent-ils encore là-dedans ? Whoa.

Parce que de mon temps, on n'avait pas besoin de pilules du bonheur ni de psychiatres.
Non, on se buvait à mort.
Bon sang, on aimait ça.

Qui décide ?
Qu'est-ce qu'un symptôme, qu'est-ce qu'un défaut, est-ce que ça peut être les deux ?
Eh bien, je suppose que c'est une réponse.
Renoncerais-tu à ton humanité pour juste un soupçon de santé mentale ?
Parce que Dieu sait que ce n'est pas comme si c'était un cancer.
Et bonne nouvelle pour les puristes, on a découvert un remède aux symptômes du fait d'être en vie.
C'est une procédure indolore avec un faible taux d'échec.
Mais très peu de patients survivent.

Et un peu de conformisme n'a jamais fait de mal à personne.
Mais dernièrement, je m'inquiète que tu te perdes.
Alors, combien de milligrammes de toi restent-ils encore là-dedans ? Whoa.

Parce que de mon temps, on n'avait pas besoin de pilules du bonheur ni de psychiatres.
Non, on se vidait de notre sang dans nos bains.
Bon sang, on aimait ça.

Docteur, quel est mon pronostic si les études montrent que
la maladie est dans l'œil de celui qui regarde ?
Dites-moi "Ainsi va la vie".
On déprime pour impressionner, je suppose, couche après couche pour se vider le cœur.
Il fait froid maintenant, on pourra les enlever plus tard.
Mieux vaut prévenir que guérir, et on connaît tous les deux le danger.
Alors docteur, pourriez-vous refaire un test ?
J'ai le sentiment que cette fois, je pourrais bien le réussir.
Eh bien, si vous augmentez la moyenne,
On chantera tous quand la courbe en cloche sonnera avec des paroles symptomatiques de notre façon de penser.
Et si nos harmonies ne sont pas synchronisées, on peut changer nos voix.
Un chœur sous condition de notre diagnostic.

De mon temps, on n'avait pas besoin de pilules du bonheur ni de psychiatres.
Que puis-je dire, si ce n'est de ne pas tenir compte des mauvaises volontés des nihilistes moraux.
J'ai dit : "À l'époque des lobotomies, des électrochocs et des savants fous,
Oh, ne me fais pas perdre mon souffle.
Bon sang."

N'est-ce pas ton identité qui est en jeu ?
L'aspirine te tue-t-elle avec la douleur ?
Tu n'es pas tes pensées, tu n'es pas ton cerveau, tu es juste le personnage que tu as créé.
Dans ta tête, au fond de ton cœur, ce qui semble être des parties du corps séparées
S'assemblent pour croire qu'elles sont toi, et pas seulement de la chimie.
Ce n'est pas la façon dont tu as été élevé, ni ce que disent les publicités.

Ce n'est pas ce que tu paies, ce pour quoi tu pries, ce que tu veux ou ce que tu dis.
Et je vois ta tendance à redéfinir la maladie par ce dont tu as besoin.
Et j'ai peur de ne pas pouvoir te prescrire le diagnostic que tu cherches.
Et quelque chose me dit que tu as besoin, pardonne-moi si je me trompe,
Mais quelque chose me dit que tu aimes, et quelque chose me dit
que tu préfères être assise là à feuilleter ces vieux numéros de magazines people.

Eh bien, c'est l'heure, on se voit la semaine prochaine.