paroles de chanson Mon homonyme - Aldebert
Si
nous
pouvions
un
jour
nous
affranchir
enfin
Des
quolibets
miteux
et
des
sourires
en
coin
J′échangerais
volontiers
les
regards
en
substance
contre
la
liberté
d'un
peu
d′indifférence
J'avance
malgré
tout
ton
cœur
entre
mes
mains
Je
ne
pense
qu'à
nous
et
donne
ma
langue
au
chien
J′ai
passé
mon
enfance
à
n′attendre
que
toi
J'ai
pensé
que
mes
sens
faisaient
n′importe
quoi
Si
l'amour
n′est
en
somme
Qu'une
affaire
de
flamme
Différents
états
d′homme
et
quelques
états
d'âme
Et
quelques
états
d'âme
Nous
en
sommes
encore
là,
je
regarde
mes
pieds
Deux
enfants
de
la
honte
nous
renvoient
le
passé
Cette
voix
qui
résonne,
c′est
la
voix
des
parents
Cette
voix
qui
vous
somme
"ne
sois
pas
différent"
Je
change
l′essaim
des
flèches
de
Cupidon
Et
préfère
aux
Vénus
un
unique
Apollon
J'ai
passé
ma
jeunesse
dissimulant
mes
choix
J′ai
pansé
ma
détresse
en
mentant
chaque
fois
Si
l'amour
n′est
en
somme
Qu'une
affaire
de
flamme
Différents
états
d′homme
et
quelques
états
d'âme
Si
l'amour
n′est
en
somme
Qu′une
affaire
de
flamme
Différents
états
d'homme
et
quelques
états
d′âme
Quand
bien
même
nous
n'aurions
les
honneurs
du
pape
Quand
bien
même
notre
union
ferait
peur,
on
s′en
tape
Nous
attendrons
demain
qu'enfin
changent
les
lois
Dans
cet
état
de
droit
qui
ne
nous
reconnaît
pas
Voilà,
sans
façon,
sans
discours
et
sans
hymne
Quelque
soit
mon
amour,
mon
homonyme
Si
l′amour
n'est
en
somme
Qu'une
affaire
de
flamme
Différents
états
d′homme
et
quelques
états
d′âme
Si
l'amour
se
consomme
Et
sans
en
faire
un
drâme
Différents
états
d′homme
et
quelques
états
d'âme
Et
quelques
états
d′âme
Et
quelques
états
d'âme
Et
quelques
états
d′âme
Et
quelques
états
d'âme
Et
quelques
états
d'âme
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