paroles de chanson La grande quête - Alexandre Poulin
La
grande
quête
(Alexandre
Poulin
/ Alexandre
Poulin)
J'étais
encore
jeune
et
immature
Mais
j'avais
compris
déjà
à
10
ans
Qu'la
vie
c'tait
toute
une
aventure
Dont
personne
ne
revenait
vivant
J'me
disais
qu'il
devait
bien
exister
Une
façon
de
vivre
éternellement
J'allais
tout
faire
pour
la
trouver
Quitte
à
mourir
en
essayant
Donc,
à
20
ans
j'prenais
la
route
En
quête
de
la
connaissance
C'est
la
seule
qui
sait
vraiment
tout
Sur
les
secrets
de
l'existence
Bien
sûr,
on
a
tenté
De
m'empêcher
d'partir
Tout
le
village
était
rassemblé
Ma
mère
pleurait
comme
une
martyr
Mais
ma
décision
était
prise
Et
mon
baluchon
était
fait
Anyway,
la
vie
peut
juste
être
grise
Quand
la
mort
est
au
bout
du
trajet
J'ai
vite
trouvé
sur
mon
chemin
Celle
qu'on
appelle
la
destinée
Pendant
que
j'cachais
dans
ma
main
Le
fruit
du
hasard
entamé
Elle
m'a
dit:
Tu
te
détournes
de
ta
route
Des
belles
choses
que
j't'ai
semées
Y
est
encore
temps
d'les
cueillir
toutes
Prends
ma
main,
j'vais
t'y
ramener
J'ai
gentiment
décliné
l'offre
En
glissant
le
hasard
dans
ma
poche
À
quoi
bon
suivre
son
destin
Si
la
mort
t'attend
à
la
fin
Plus
loin,
j'suis
tombé
sur
l'amour
J'ai
failli
m'prendre
dans
ses
filets
Mon
cœur
battait
comme
le
tambour
Des
soldats
qui
n'reviennent
jamais
Elle
m'a
dit:
Prends
donc
ma
main
J'irai
mettre
ma
robe
la
plus
blanche
On
s'mariera
dans
un
jardin
Notre
vie
s'ra
belle
comme
des
vacances
J'ai
gentiment
décliné
l'offre
Le
rouge
me
montait
aux
joues
Mourir
doit
être
encore
plus
tough
Quant
t'es
amoureux
fou
Encore
plus
loin
sur
mon
parcours
J'suis
tombé
sur
le
bonheur
Sa
voix,
j'm'en
souviendrai
toujours
Était
si
belle
qu'elle
faisait
peur
Il
m'a
dit:
Je
sais
pas
c'que
tu
cherches
Mais
sache
que
tu
l'cherches
pour
rien
Puisque
la
seule
vraie
richesse
C'est
l'bonheur,
pis
là
tu
m'tiens
J'ai
gentiment
décliné
l'offre
Cette
fois
en
hésitant
un
peu
Déjà,
la
dépendance
était
rough
Le
bonheur
me
rendait
heureux
Tellement
d'années
sont
passées
Avant
que
j'trouve
ce
que
j'cherchais
J'tais
rendu
vieux
et
fatigué
Mais
la
connaissance
était
tout
près
J'ai
même
pas
eu
l'temps
d'parler
Puisque
la
connaissance
sait
tout
Elle
m'a
dit:
T'es
passé
à
côté
De
tout
c'qui
compte,
espèce
de
fou
T'aurais
pu
profiter
d'la
vie
Collectionner
l'moment
présent
Tout
ce
temps,
je
t'ai
suivi
Mais
tu
r'gardais
juste
par
en
avant
Et
comme
t'as
tout
perdu
J'vais
t'le
dire
ce
que
tu
cherches
Et
quand
t'auras
ton
dû
Ben,
j'te
présenterai
la
tristesse
Sache
que
la
mort,
c'est
plein
de
vie
Et
qu'après,
tout
se
poursuit
Que
pour
vivre
éternellement
Il
suffit
de
mourir
juste
avant
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