paroles de chanson On appartient d'abord - Georges Chelon
On
appartient
à
la
Terre,
d′abord
Voir
le
jour
près
d'une
rivière,
d′un
port
Au
pied
d'une
montagne
Ou
en
pleine
campagne
C'est
pas
le
même
sang
qui
coule
dans
nos
corps
On
appartient
aux
saisons,
d′abord
Arriver
quand
la
nature
s′endort
Ou
quand
elle
se
réveille
Non,
ce
n'est
pas
pareil
On
est
un
peu
plus
faible
ou
bien
un
peu
plus
fort
On
appartient
à
la
Femme,
d′abord
Quels
que
soient
notre
rang,
notre
bord
Notaire
ou
poète
Avec
celles
qui
nous
font
naître
L'amour
tisse
des
fils
d′or
On
appartient
à
la
Musique,
d'abord
Celle
que
joue
la
vie
sur
les
mêmes
accords
Qu′une
feuille
tombe
Qu'un
animal
succombe
Que
je
m'en
désintéresse,
j′ai
tort
On
appartient
au
Temps
qui
passe,
d′abord
Qui
nous
tient
prisonniers
de
nos
corps
Mais
nous
vivrons
dans
la
mémoire
De
ceux
qui
viendront
plus
tard
Pour
peu
qu'ils
pensent
à
nous,
encore
On
appartient
aux
Planètes,
d′abord
Leur
big-bang
résonne
dans
ma
tête
encore
Sur
Un
tel,
Une
telle
Elles
mettent
leurs
grains
de
sel
Comme
on
fait
notre
berceau
d'étoiles,
on
dort
On
appartient
à
l′Idée,
d'abord
Qu′on
se
fait
de
la
vie,
de
la
mort
Dieu
est
créé
par
l'homme
C'est
le
contraire
qui
m′étonne
À
chacun
son
illusion,
d′accord?
C'est
parce
que
l′on
appartient
encore
À
tout
ce
que
l'on
prend
au
dehors
Que
l′on
tue,
que
l'on
transforme
Pour
avoir
une
forme
Qu′un
jour
ou
l'autre,
on
subit
le
même
sort
On
appartient
à
l'Amour,
d′abord
À
celle
auprès
de
qui
l′on
dort
Mais,
tout
n'étant
qu′illusoire
Pour
la
petite
histoire
Sans
nous,
que
f'rait
la
vie,
d′abord?
Mais
tout
n'étant
qu′illusoire
Gardons
bien
en
mémoire
Sans
nous,
que
f'rait
la
vie,
d'abord
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