Interlude - Il était une fois l'histoire de... - ISHIDA traduction en allemand

Interlude - Il était une fois l'histoire de...

Il était une fois, l'histoire d'un jeune garçon
Nommé Ishida. Coquin, un peu cabochon
Il vivait seul, dans une maison, proche, mais lointaine
De la ville, de la forêt, et des grandes plaines

Il était rêveur, affectueux, plein d'espoir
Nul n'osait le penser capable de magie noire
Croyait en la magie, féru de contes de fées
Aimait renards, cassandres, amis et cerisiers

Shoya rencontra un beau jour un Tracassin
Ce dernier était gentil, bienveillant et sain,
Tout deux de même natures, rêveurs et enfantins
Devinrent meilleurs amis, et se promirent, gardiens,
Que jamais oh jamais ils ne se haïraient
Enfin

C'est ce qu'Ishida croyait
Tracassin utilisait en réalité la magie noire
Il transformait les nuages en eau et inversement
Les émotions tel qu'Ishida les connaissait ne furent plus
Tout ça à cause d'un Tracassin. Son tracassin
Qui était... En réalité, en face de lui, non pardon, à l'intérieur de lui
Plus précisément dans sa tête
Il était pourtant sûr de l'avoir vu
Les Tracassins restent malheureusement
Si vrais dans les esprits de ceux qu'ils pervertissent

Interlude - Es war einmal die Geschichte von...

Es war einmal die Geschichte eines kleinen Jungen,
namens Ishida. Frech, ein kleiner Dickkopf.
Er lebte allein in einem Haus, nah, aber doch fern
von der Stadt, dem Wald und den großen Ebenen.

Er war ein Träumer, liebevoll, voller Hoffnung.
Niemand hätte ihn der schwarzen Magie für fähig gehalten.
Er glaubte an Magie, liebte Märchen,
mochte Füchse, Kassandras, Freunde und Kirschbäume.

Eines schönen Tages traf Shoya einen Plagegeist,
der freundlich, wohlwollend und gesund war.
Beide von gleicher Natur, Träumer und kindlich,
wurden beste Freunde und versprachen sich, Hüter zu sein,
dass sie sich niemals, oh niemals, hassen würden.
Endlich...

Das ist, was Ishida glaubte.
In Wirklichkeit benutzte der Plagegeist schwarze Magie.
Er verwandelte Wolken in Wasser und umgekehrt.
Die Gefühle, so wie Ishida sie kannte, gab es nicht mehr.
All das wegen eines Plagegeistes. Seines Plagegeistes.
Der... in Wirklichkeit, ihm gegenüber, nein, Verzeihung, in ihm drin war.
Genauer gesagt in seinem Kopf.
Er war sich jedoch sicher, ihn gesehen zu haben.
Plagegeister bleiben leider
so real in den Köpfen derer, die sie verderben.