paroles de chanson Sur une bonne note - ISHIDA
J'fais
quoi
ici
Vis
avec
toi-même
et
tu
deviendras
ton
pire
ennemi
Seul,
on
est
plus
près
des
nuages,
loin
de
nos
émotions
et
de
notre
vie
Tandis
que,
souvent
on
se
noie
dans
les
émotions.
L'eau
claire
comme
les
abysses
C'est
des
plus
belles
maladies
que
viennent
les
plus
belles
choses
C'est
dans
le
noir
que
poussent
les
roses
De
la
Souffrance,
du
trauma
et
du
noir
que
vient
la
satisfaction
de
faire
une
œuvre
D'avancer
dans
la
vie
et
de
voir
le
positif
dans
la
sienne
Donc
merci
Merci
aux
gens
qui
m'ont
refusé
mon
amour
(Je
suppose)
Merci
aux
amis
qui
m'ont
laissé,
pour
une
blague,
ou
pour
la
santé.
(Je
suppose)
Merci
à
ce
trou
de
deux
ans
de
m'avoir
fait
relativiser
et
me
questionner
Et
surtout,
merci
Tous
les
enculés
que
j'ai
rencontrés
Parce
que
vous
m'avez
pas
détruit
mais
crée
Ishida
c'est
ça
Ça
a
ses
bons
comme
ses
mauvais
côtés
Un
noël
et
des
phalanges
qui
saignent
J'aime
comme
j'hais
tellement.
J'vis
tout
a
100
pourcent
J'ressens
trop
intensément,
du
coup,
dans
l'eau,
j'me
noie
dedans
Ishida
c'est
ce
perso
triste
qui
dit
pas
grand-chose
à
personne
Il
garde
tout
pour
lui,
comme
si
ça
allait
le
sauver
de
quelque
chose
Perd
son
esprit
critique
et
son
grand
angle,
de
peur
de
perdre
Il
tient
à
peu
mais...
Il
tient
Cet
album
c'est
moi.
Les
moments
seuls
au
fond,
avec
plein
de
reverb
Les
moments
d'euphories
entourés
avec
un
max
d'echo
Les
moments
seuls
et
heureux,
avec
beaucoup
de
back
Les
moments
tristes
et
ensemble.
Les
meilleurs,
qui
font
un
chorus
de
malade
Cet
album
c'est
la
prise
en
conscience
de
ce
que
je
dois
faire
pour
arriver
à
mes
fins
Mais
pas
grâce
à
moi,
mais
aux
autres
Ishida
n'a
que
de
sens
s'il
est
là
pour
me
faire
avancer
De
n'importe
quelle
manière
Alors
oui
il
faut
contempler
les
roses
pour
qu'elles
poussent
Mais
je
veux
pas
me
donner
d'excuses
Faites-vous
votre
propre
avis
Ishida
c'est
pas
un
personnage
pour
un
rappeur
dépressif
Mais
c'est
un
rappeur
dépressif
pour
un
personnage
Mais
la
vérité
c'est
que
j'vis,
j'pense
Ressens
trop
comme
un
escargot,
dans
ma
coquille
Je
souffre
pour
un
rien,
et
ça
s'empire
J'peux
pas
l'contrôler
Je
reste
chez
moi,
enfermé
dans
mon
esprit
A
m'réconforter
de
mon
mode
de
vie,
Ça,
j'en
tremble
quand
j'le
dis
J'deviens
fou
J'garde
trop
d'choses
pour
moi,
j'garde
les
roses
près
d'moi,
Elles
m'empoisonnent,
m'encloisonnent,
J'arrive
pas
à
sourire,
j'réfléchis
trop,
Mon
corps
est
si
faible
depuis
deux
ans
que
chaque
matin
j'repars
de
zéro
J'ai
envie
d'taper,
frapper,
m'exprimer
c'est
pas
assez,
Un
coussin
c'est
pas
assez,
un
mur,
ça
peut
se
briser,
Une
main,
ça
peut
saigner,
un
miroir
c'est
joli
quand
c'est
cassé
C'est
ça
l'soucis,
j'me
parle
trop,
J'suis
l'seul
à
dialoguer
dans
ce
scenario.
J'suis
mon
propre
putain
d'boss
dans
c'niveau.
Mes
meilleures
œuvres
sont
celles
que
j'fais
en
trio,
j'pense
à
vous
gros
J'vais
tout
casser,
pourquoi,
aucune
idée,
La
raison
au
moment
où
j'me
suis
énervé
j'lai
oubliée
Rah
et
puis
putain
j'vais
j'vais
La
prod
m'apaise
J'mets
ma
copine
en
larmes
puis
je
me
tais
Pourquoi
(pourquoi)
aucune
putain
d'idée
Il
est
l'heure
de
culpabiliser
Un
truc
à
700
balles
devant
mes
mains,
faut
le
voler,
nan
j'vais
pas
le
voler,
logique,
stupide
Caractérisé
par
mes
semblables,
fatigué,
gêné,
oups
j'ai
pleuré,
ils
écoutent
pas
ma
musique
(quoi?)
Pas
la
peine
de
m'énerver,
le
monde
a
la
nausée
et
Lelouch
est
là
pour
faire
tourner
le
tourniquet
Surtout
Pas
l'aise
de
crier
Pas
lâcher,
pas
lâcher,
pas
s'lasser,
pas
s'casser,
balafré
Satine
fume
et
j'en
ai
rien
à
foutre,
20
000
questions
à
la
minute
Mais
rien
ne
sort
d'intelligent
donc
à
quoi
bon
réfléchir
J'me
mets
des
panneaux
non-stop,
mes
projets
qui
s'écoulent,
Le
nez
qui
coule,
tout
l'temps
enrhumé,
le
pire
c'est
que
j'ai
rien
à
dire
Mon
point
de
vue
sert
quand
même,
même
si
j'suis
en
bas
d'la
pyramide
Pas
de
réseaux,
le
machin
c'est
pas
toxique
c'est
acide
Impulsif,
irritable
et
haineux,
Ishida
cache
le
chapeau
Temps
modernes,
les
récits
d'un
enfant
qui
ressent
un
peu
trop
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