paroles de chanson Je trace ma route - L'algerino
J'oubli
pas
qui
je
suis,
j'oubli
pas
d'où
je
viens
J'oubli
pas
que
j'étais
ce
galérien
qui
était
parti
de
rien
J'oubli
pas
que
pour
beaucoup
j'étais
voué
à
l'échec
Mais
j'ai
appris
que
dans
la
vie
faut
jamais
lâcher
le
steak
J'oubli
pas
mes
racines
fier
de
mes
origines
J'oubli
pas
ce
temps
où
mon
compte
en
banque
criait
famine
J'oubli
pas
ces
années
à
trainer
dans
les
ruelles
Entre
la
rue
et
l'école
petit
voleur
à
Marseille
Insouciant
à
l'époque,
je
voulais
refaire
le
monde
Un
ballon
de
foot,
un
marqueur
je
voulais
croquer
le
monde
Mais
j'ai
vu
le
fossé
entre
les
rêves
et
la
réalité
La
satiété
de
fric
ne
fait
qu'empirer
la
société
Le
frigo
est
vide
mais
je
manquais
de
rien
Le
daron
fieux
à
la
tache
pour
qu'on
mange
à
notre
faim
Y
disent
qu'on
était
pauvre
pour
moi
j'étais
millionnaire
Une
mère
et
un
père
c'est
la
plus
grande
des
richesses
sur
terre
J'ai
connu
les
coups
durs,
maladies
de
la
vie
Le
chemin
est
parsemé
sur
l'autoroute
de
la
vie
Entre
le
bien
et
le
mal,
entre
la
terre
et
les
cieux
Je
lève
les
yeux
vers
le
ciel
et
passe
la
confiance
en
dieu
A
l'heure
où
j'écris
ce
texte
je
suis
garé
dans
un
parking
Les
flics
m'ont
contrôlé
n'ont
trouvé
que
des
mégots
des
sticks
Les
gens
me
prennent
pour
un
fou
quand
je
rap
mes
textes
au
feu
rouge
Sa
passe
au
vert
sa
klaxonne
les
vieux
me
regarde
d'un
air
louche
Je
trace
ma
route,
j'oubli
pas
d'où
je
suis
parti
Donnez-
moi
du
bonheur
en
contre
partie
C'est
comment
te
dire
un
peu
flou
mais
clair
dans
ma
tête
Les
bouettes
on
toujours
était
prit
pour
des
fous
Je
trace
mon
chemin,
j'oubli
pas
d'où
je
viens
Si
tu
as
mal
serre
les
fesses
ça
ira
mieux
demain
Appart
ça
tout
va
bien
je
garde
le
sourire
Je
profite
de
chaque
instant
comme
si
demain
je
devais
mourir
J'ai
connu
la
routine
je
lui
ais
même
fait
l'amour
Perdu
mon
temps
chaque
jour
à
traîner
en
bas
d'une
tour
A
se
demander
ce
que
le
sort
me
réservera
demain
Fatigué
de
rien
foutre
assommé
par
des
joints
Les
yeux
cernés
je
perdai
mon
duel
contre
le
sommeil
Il
est
14
heures
du
mat
ce
jour
qui
ressemble
à
celui
de
la
veille
J'ai
rien
à
perdre
je
c'est
ce
que
j'ai
à
faire
Tente
le
tout
pour
le
tout
avant
de
finir
6 pieds
sur
terre
J'ai
connu
les
nuits
de
doutes
intéressé
par
les
maisons
de
disques
Les
radios
n'avaient
pas
de
place
pour
moi
dans
leur
playlist
Mais
la
rue
a
tranchée,
elle
a
fait
de
moi
ce
que
je
suis
Y
a
de
la
place
dans
la
caisse
que
ceux
qui
m'aiment
me
suivent
J'allume
la
radio,
les
frères
inondent
la
FM
Mash'Allah
je
souhaite
le
bien
les
jaloux
puent
la
défaite
Faut
aimer
pour
son
prochain
ce
qu'on
aime
pour
soit
même
Continue
à
tout
niquer
vazy
mais
reste
toi-même
Je
trace
ma
route,
j'oubli
pas
d'où
je
suis
parti
Donnez-
moi
du
bonheur
en
contre
partie
C'est
comment
te
dire
un
peu
flou
mais
clair
dans
ma
tête
Les
bouettes
on
toujours
était
prit
pour
des
fous
Je
trace
mon
chemin,
j'oubli
pas
d'où
je
viens
Si
tu
as
mal
serre
les
fesses
ça
ira
mieux
demain
Appart
ça
tout
va
bien
je
garde
le
sourire
Je
profite
de
chaque
instant
comme
si
demain
je
devais
mourir
J'ai
déjà
27
ans
j'ai
vécu
1/4
de
siècle
Dans
la
vie
y
a
des
chances
qui
se
présentent
Il
faut
les
saisir
Rien
à
foutre
de
ceux
qui
mettent
les
bâtons
dans
les
roues
Parce
que
moi
je
trace
ma
route
j'oubli
pas
d'où
je
suis
parti
Donnez-
moi
du
bonheur
en
contre
partie
C'est
comment
te
dire
un
peu
flou
mais
clair
dans
ma
tête
Les
bouettes
on
toujours
était
prit
pour
des
fous
Je
trace
mon
chemin,
j'oubli
pas
d'où
je
viens
Si
tu
as
mal
serre
les
fesses
ça
ira
mieux
demain
Appart
ça
tout
va
bien
je
garde
le
sourire
Je
profite
de
chaque
instant
comme
si
demain
je
devais
mourir
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