paroles de chanson Sale époque - Lacrim
Ok,
hey
Sale
époque,
mes
frères
sont
instables
de
fou
Pètent
un
câble,
prêts
à
s'tape
contre
un
stade
de
foot
On
s'lève
dans
l'gaz,
les
yeux
cernés
L'envie
du
nécessaire
nait,
faut
pas
se
laisser
cerner
HLM
s'organise
nos
sœurs
sont
magasinières
Et
les
petits
font
le
double,
un
litron
sur
la
gazinière
Nos
anciens
l'recherchent
pas
ils
nous
cassent
un
prix
Prêtent
du
C4,
des
Kalashs,
puis
vont
casse
un
brinks
Ils
agissent
comme
De
Niro
et
Tony
Si
ils
n'ont
pas
c'qu'ils
veulent,
ils
l'obtiendront
de
ton
lit
De
la
peine
ressentie
sur
ce
phénomène
Mais
nos
mères
nous
ont
dit
on
le
fait
nous
même
Imbécile
des
signes
qui
ne
trompent
pas
17
piges
investi
à
la
place
du
tron-pa
Oh,
réaliste
quand
on
me
parle
de
la
couleuvre
Avant
de
l'avaler
faudrait
déjà
qu'j'en
vois
la
couleur
Avec
moi,
pas
jouer
au
vocabulaire
J'serai
plus
fort
si
j'renonce
à
la
vodka
puis
l'herbe
Dans
leur
monde
on
enseigne
la
littérature
Moi
dans
la
rue
je
saigne
et
j'essaye
d'éviter
les
ratures
On
est
pas
chelou,
c'est
l'État
qui
nous
a
appris
Qu'on
est
pas
chez
nous
et
que
nos
têtes
sont
mises
à
prix
Le
sujet
du
débat,
nos
milieux
hostiles
Parce
qu'on
veut
tous
prendre
des
barres,
un
Mini
Austin
Pas
facile,
je
crois
pas
qu'mon
issue
est
là
Peut-être
sur
un
coup
d'tête
j'irais
au
Venezuela
Il
se
peut
que
c'est
demain
qu'je
partirai
D'un
coup
d'calibre
enrayé
qui
finit
par
tirer
On
parle
dignité
le
respect
fut-il
été
Quand
deux
frères
se
fument
et
s'embarquent
dans
les
futilités
Contrôlable
je
sais
qu'on
ne
l'est
qu'à
demi
On
fonce
contre
l'arbre,
on
s'est
pris
pour
K-2000
Avoir
une
femme
et
des
gosses,
je
repeins
ce
rêve
Tellement
la
vie
est
moche
et
traître
comme
un
pince-oreille
La
folie
gros,
une
puissance
qui
émane
Plus
tu
refroidis
et
là
plus
tu
sens
c'qui
est
mal
La
débrouille,
j'accède
à
la
vie
facile
Mais
je
n'suis
pas
un
bandit
que
les
filles
fascinent
J'suis
moi-même,
crois
pas
que
je
change
d'horizon
Pour
faire
de
la
pub
qui
marche
pour
du
Chorizo
Ouais
mon
cœur
c'est
d'la
pierre,
pas
du
chamallow
C'est
depuis
qu'je
sais
que
la
femme
aime
faire
du
charme
à
l'autre
Regardez
j'prends
la
cote
pour
du
vantard
Le
quartier
prend
d'l'alcool
pour
du
Fanta
Que
le
monde
soit
moins
chime
ne
comptez
pas
l'homme
Même
si
un
frère
réfléchit
on
dit
qu'il
se
débalonne
C'que
j'dis
est
vrai
c'est
une
garantie
mais
sûr
Aussi
vrai
que
j'en
suis
à
48
mesures
Les
caisses
de
l'État
ne
servent
qu'à
monter
les
chromes
C'est
l'bordel
jusqu'en
Serbie,
Monténégro
Tu
veux
quoi
de
nous
on
sait,
tu
fais
quoi
de
louche
C'est
les
armes
et
c'est
pareil
que
la
coke
venant
de
Guadeloupe
Gros
c'est
des
faits
que
la
Matrix
s'aggace
Pas
logique
comme
un
feat
avec
Patricia
Kaas
Sans
compter
qu'au
quartier
ça
s'emballe
Dégoûté
ça
braque
des
banques
pour
des
500
balles
Le
destin
on
va
pas
l'refuser,
hein
les
mecs
Nos
âmes
sont
braquées
par
un
fusil
à
lunette
La
rue
ne
rapporte
pas
que
des
faits
rentables
Différents
tafs
comme
de
fumer
sous
la
véranda
Y
a
la
même
rage
qu'Abidal
et
Ribéry
Mais
c'est
pas
du
foot
dans
ma
capitale,
on
y
périt
Je
te
l'ai
dit
j'en
témoigne
que
l'hiver
hantise
Dans
ma
team
que
des
one
pas
d'numéros
10
J'écris,
l'instru
s'écarte
et
j'm'arrête
pas
Aussi
vrai
qu'j'viens
d'éclater
ma
rette-ba
Appelle
les
sons
que
j'prépare
une
attaque
atomique
Et
t'as
plus
qu'à
tenir
car
j'ai
la
technique
à
Luca
Toni
Il
m'faut
la
caisse
d'Enrico
Macias,
si
Je
n'l'ai
pas
c'est
un
fait,
faut
qu'on
m'assassine
Que
j'arrive
à
Saint-Tropez
avec
Rihanna
Même
Karambeu
s'est
fait
tromper
par
Adriana
J'rentre,
j'te
braque
à
la
tempe
ta
copine
est
saoule
Tu
vas
m'donner
l'contenu
du
coffre
la
combinaison
Ok,
et
puis
manque
de
pot
j'suis
assez
remonté
Contre
les
mandats
d'dépôts
et
ainsi
que
les
assermentés
C'est
la
nouvelle
gros,
pas
la
Testarossa
Lacrim,
micro
1 test
arrose
ça
La
politique
roule
à
fond,
amendez-là
Les
seuls
bons
sont
Boumediene
et
puis
Mandela
La
diversion
j'la
fait
à
la
Copperfield
Les
keufs
m'attrapent
bah
c'est
pour
qu'mes
compères
filent
Je
n'ai
qu'une
vie,
si
je
tire,
je
blesse
pas
Y
a
des
villes
en
Espagne
qu'la
PJ
n'connaisse
pas
Dès
qu'j'ai
le
plein
de
biff
j'me
retire
wAllah
Ce
sont
les
mêmes
paroles
de
Paris
jusqu'à
Tijuana
Là
j'suis
seul
sur
le
navire
et
j'ai
pas
de
comptes
à
rendre
Tu
déballes
sur
ma
vie
et
tu
veux
qu'on
t'arrange
À
la
dérive
qu'on
me
repêche
même
pas
J'repense
à
Tenerife
et
puis
leur
pêches
melba
Là,
j'suis
en
fuite
et
le
shit
il
est
bien
ché-ca
Si
l'avocat
chicane
on
prend
deux
billets
vers
Boca
Chica
J'ai
raté
l'coche,
partir
pour
les
Cayman
Si
j'te
raconte
mon
vécu,
tu
diras
dans
tous
les
cas
"il
ment"
Un
jeu
d'l'oie
avec
toute
sorte
de
destinations
Car
m'évader
c'est
le
sort
de
ma
fascination
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