paroles de chanson Plus de larmes - Lomepal

Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans la machine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans la machine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Chaque jours une nouvelle cascade
J'aurais du demander une doublure
Y'a que dans mes cauchemars que je cours plus
J'ai beaucoup moins de rêves, j'suis beaucoup plus vieux
(J'suis beaucoup plus vieux)
Proche de mes démons
J'pourrais presque leurs donner des prénoms
J'me détruis, j'sais même plus si c'est mal
Ma morale et mes désirs s'emmêlent
Comme mes idoles préférés, j'ai faim de scène
Faim d'alcool, faim de gloire, faim de sexe
J'idéalise trop les rockstars
Parfois j'ai peur de vouloir rejoindre le club des 27
J'viens d'enchaîner seize interviews dans la même journée
J'sais même plus comment je m'appelle
Cœur défectueux je survis sans
Aucun rêve ne sera jamais suffisant
Si j'ai plus d'étoiles dans les yeux
C'est pour mieux voir venir le vide
Tu veux savoir comment je vis ?
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans la machine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans la machine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Saut de l'ange dans le système (ensemble)
On a maquillé la tristesse (ensemble)
On a prit la drogue anti-stress (ensemble)
Toujours mal à l'aise, dans les fêtes, dans les bars
C'est pas mieux quand j'm'enferme sans ler-par
J'donne même pas les quelques nouvelles qu'on me demande (seul)
Rideaux noir dans l'appartement (seul)
Je veux pas voir qu'on est demain (seul)
J'suis devenu fort en psycho
En rassurant ma mère dans la cuisine jusqu'à quatre heure
Elle me parle toujours des mêmes histoires de famille atroces
J'les connais toutes déjà par cœur
J'reste comme une personne addicte
Ce monde est un sauna
Dis-moi le suicide me sauvera-t-il ?
Je partirai avec la même tête que Kitano dans Sonatine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans la machine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans la machine
Plus de larmes dans le corps
Plus de larmes dans le corps
Quand j'parlais de ma mère ou quand j'disais
Oh c'est bien et que je racontais des trucs
Il me regardait en faisant "pfff, t'es vraiment, t'es vraiment bizarre"
Du coup, moi, j'ai eu le même statut que ma mère
Simplement parce que je l'acceptais, j'étais donc comme elle
Quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou
C'est étrange dans cette société, hein ?