paroles de chanson C'est la crise (feat. Daddy Mory) - Nessbeal

Levez vos bras en l'air, oui là c'est l'com-com
A part ça moi ma vie oui C'estLaCrise.com
Et j'en suis pas ravi mais j'resterai toujours comme
Je suis, tu m'suis, j'te fuis, tu m'fuis, j'te suis plus
Et yo, et yo, et yo
Toujours en quête d'une vie meilleure, meilleure, meilleure
T'es pas dans l'game, tu m'fais player, player, player
Moi faut que j'me taille ailleurs, ailleurs, ailleurs

Toujours OP comme en garde à v'
T'sais pas toi comment on en bave
Ça met dans l'pochon et sa emballe
Est-ce qu'y a enquête, nous en s'en bats l'
Dans cette vie y a pleins d'maladies
Profite pas du bien mal acquis
Tu veux te battre bien aqui
Miss on le sais qu't'aime bien la kik'
On m'a dis, profite pas des gens ça t'retombe dessus et de suite faut des sous
J'vois des signes, j'suis décu alors j'fais des sons
Pour descendre la tensions, parce que les temps sont durs
Attention, ces temps-ci une putain d'envie d'foutre le boxon
Réveillé tout l'quartier, avec moi en flashton ou ma hache
Imagine Ju-ju-jul au démarrage
Nique ta race, si t'y as fais l'BDH
Si c'était ton pote que t'aimais bien qu'tu lui a levé des cash
Qu'tu lui a pété son plan beuh ou son plan boule
Faut pas s'la faire mettre parce que les gens coule
Y en a pas beaucoup des gens cool
2012 trop d'gens sans couilles
Il faut d'tout pour faire un monde alors on peux pas vivre sans cons
Tu t'rend compte? Les hommes deviennent des femmes
D'autre s'la pètent des qu'il y a des fans
Faudrait les tartés ces MC's, je suis pour messieurs et mesdames
Et si t'y as fais le traître alors que moi j't'ai vu faire la putes devant des mecs bah c'est pas grave
Y a rien qu'j'regrette, même si j'suis pas au top, qu'c'est pas la fête dans ma tête bah je bataille
Toujours ter-ter depuis mes débuts
Même si y a des débats sur mon compte j'mettrais toujours des buts
J'essaye d'esquivé les putes, c'est pas ma destiné les potes
A trop sur-estimé l'équipe bah j'ai finis déçu les potes
J'pose la hache de cette époque, besoin de dégun j'fais seul mes prod
J'suis fière de c'que je suis, les gens jaloux: J'protège mes côtes
Se soir j'suis avec houari, aller niquer moi soirée
A coté d'moi y a zirish, vers chez lui il va s'dirige
Banquette arrière y a Sahia, que j'ai failli oublié qu'y avait Thomas, la posé sur la tomate du Vespa
Y a Der-K avec kar qui débarque, ouais il caille, y a coeur posté qui baille
Yemah fais gaffe aux flics on sais jamais, t'es plus au charbon, tu t'emmerde, pour rien tu jure ta mère
J'écrivais c'texte hier, j'les repris aujourd'hui
Et ouais demande à XXX avec de l'alcool en oublie
J'suis au quartier c'est l'matin, ça gratte des barres sous boucan
Et ouais d'mande à azdine on est sur les nefs tout l'temps
Et la j'continu mon texte, tout en pensant à mon frère qui dois voir son père au parlu' souvent
A dire qu'c'était l'inverse y a pas moins d'1 an
Putain c'est trop la 'sère, j'ai même fais ma demande
Mais rien à faire, je pète les plombs, avec tout l'monde je coupe les ponts
Depuis l'école je touche le fond mais le ballon mets des p'tits ponts
Ça sert à rien d'jouer les grands, d'se montrer au tier-quar
Flash à la main, gros pétards, on s'aime, on s'fight jusqu'à très tard
J'ai l'blues mais laissez moi, sortez mes frères qu'on pris des mois
Depuis tout p'tit j'ai le démon, insulte ma mère j'te nique tes morts
Alors qu'est-ce qu'on fais, on vas rester là, à rêvé d'une vie à la GTA
Tu peux dire tout c'que tu veux quand y avait embrouille moi j'étais là
J'rappe pour les fratélos, depuis l'époque de bébétello
Nique les bleus, les chiens trouvent la beuh même emballé dans l'cello'
Dans mon ghetto sa sert les clins, en vélo
3 heure d'l'aprem', bière corsé, Coca belley

Levez vos bras en l'air, oui là c'est l'com-com
A part ça moi ma vie oui C'estLaCrise.com
Et j'en suis pas ravi mais j'resterai toujours comme
Je suis, tu m'suis, j'te fuis, tu m'fuis, j'te suis plus
Et yo, et yo, et yo
Toujours en quête d'une vie meilleure, meilleure, meilleure
T'es pas dans l'game, tu m'fais player, player, player
Moi faut que j'me taille ailleurs, ailleurs, ailleurs